Pétitions soutenues par le secrétariat du SGEN-CFDT
étranger (juin 2006)
LE SGEN-CFDT de l'étranger demande le réexamen des modalités d'application de la loi Dutreil en faveur des contractuels des Affaires étrangères exerçant des fonctions pérennes : il est inadmissible de mettre fin aux fonctions d'un agent en fin de contrat pour en recruter un autre exerçant les mêmes fonctions au seul prétexte d'éviter la transformation d'un CDD en CDI !!!
Signez la pétition en ligne ! http://ac-mae.org/article.php3?id_article=23
Pétition nationale : NOUS LES PRENONS SOUS NOTRE PROTECTION !
Le 30 juin 2006, le sursis accordé aux élèves sans papiers et à leurs parents tombera. Des milliers d’enfants, de jeunes et leurs familles risquent l’expulsion en masse, verront leur avenir et leur vie même anéantis. Nous ne laisserons pas commettre ces infamies en notre nom. Chacun avec les moyens qui sont les nôtres, nous leur apporterons notre soutien, notre parrainage, notre protection. S’ils nous demandent asile, nous ne leur fermerons pas notre porte, nous les hébergerons et les (...)
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Pétitions soutenues par le secrétariat du SGEN-CFDT étranger (janvier 2006)
L’apprentissage de la lecture est un enjeu majeur, pour toute la scolarité d’un enfant comme pour sa vie d’adulte et de citoyen. Chaque enseignant, chaque parent y accorde à juste titre une grande importance.
Sur ce sujet trop souvent l’objet de polémiques stériles, les organisations syndicales, les organisations de parents d’élèves, les mouvements pédagogiques et les personnalités signataires tiennent à rappeler quelques éléments incontestables et proposent, que l’information des parents et des enseignants reste sur un terrain, qu’elle ne doit jamais quitter : celui de l’intérêt de l’enfant.
[suite]La « crise des banlieues » qu’a connue notre pays durant le mois de novembre a été l’occasion, ou le prétexte, pour le gouvernement d’annoncer la fin de la scolarisation obligatoire jusqu’à 16 ans, avec la possibilité d’aller en apprentissage sous contrat de travail dès 14 ou 15 ans, ainsi qu’une nouvelle réforme des zones d’éducation prioritaires (ZEP) qui renie toute ambition de transformation progressiste véritable de notre système éducatif. Certes, il est plus que jamais nécessaire de débattre des difficultés, des modalités et des conditions de la démocratisation de notre système éducatif et de l’accès aux savoirs, ainsi que d’opérer un bilan critique des politiques menées depuis trente ans. Mais ce qui nous est proposé aujourd’hui n’a rien à voir avec cela et relève au contraire du renoncement historique à cette ambition. [suite]
Pétitions initiées par des professeurs de FLE en Autriche pour soutenir les professeurs de l'Institut français de Vienne
NON AU DÉSENGAGEMENT DE LA FRANCE
OUI A LA FRANCOPHONIE
http://www.apfa.at/indexpetitions.htm
1. Pétition proposée aux Autrichiens
A partir du 28 février 2006, l’Institut français de Vienne ne dispensera plus de cours de français dits généralistes :
tous les professeurs de français sont licenciés. Seuls des cours pour les « élites » seront dispensés.La médiathèque de l’Institut devrait être « restructurée » : elle risque de devenir un centre d’information élitiste, accessible uniquement sur rendez-vous.
Nous, clients de l’Institut français et de la médiathèque, professeurs de français, étudiants, francophones et francophiles, nous protestons vivement contre cette décision aussi brutale que précipitée, sans dialogue ni perspective. Nous nous élevons contre le démantèlement programmé du réseau culturel français en Europe et dans le monde. L’exception culturelle que prône la France ne peut se concevoir sans le travail quotidien des acteurs qui, sur le terrain, diffusent la langue, la pensée, la culture et les valeurs chères à la francophonie. [suite]
2. Pétition internationale "longue" à télécharger
Le 1er décembre les professeurs de l'Institut français de Vienne ont appris subitement qu'ils/elles seraient licencié(e)s, les un(e)s au 31 mars, les autres au 31 mai (bien que tous les contrats stipulent 6 mois de préavis), et que les cours de français général, qui constituent la majeure partie des cours dispensés, seraient fermés dès le 28 février.
De nombreuses inscriptions ont été refusées, car les cours, en prévision d'une prochaine fermeture, ont déjà été réduits. Pourtant l'IFV reçoit plus de 2000 étudiants par an.
Peu après, 20 enseignant(e)s détaché(e)s des instituts Français d'Allemagne ont reçu également en cadeau de noel – 15 minutes avant le début de leur cours, un avis de licenciement et de non renouvellement de leur détachement au 31 août 2006, tandis que 7 professeurs de nationalité française à Hanoi apprenaient que leurs CDD ne seraient pas renouvelés, ceci n'étant qu'un signe avant-coureur des licenciements de tous les enseignants de nationalité française sous prétexte de « décolonisation », bien que les étudiants de l'espace d'Hanoi tiennent à avoir aussi des professeurs de langue maternelle et de culture française.
Après les Instituts de Rome, Porto, de Gand, de Salzbourg, de Graz, c’est au démantèlement complet du principal vecteur de la francopphonie que nous assistons. Les cours de l’Institut Français de Madrid seront-ils les prochains ? [suite]