Le SGEN-CFDT de l’étranger se réjouit de l’intérêt du Président de la République pour la scolarisation des enfants français de l’étranger.
Mais, plutôt que de légiférer sur la gratuité de l’enseignement en lycée, le SGEN-CFDT de l’étranger demande qu’une réflexion de fond soit menée sur l’évolution du réseau.
Avec 5 000 élèves supplémentaires attendus dans le réseau AEFE à la rentrée 2007, le SGEN-CFDT de l’étranger demande :
que le budget global des bourses scolaires soit revu à la hausse lors du débat parlementaire sur le projet de loi de finances de sorte à couvrir les besoins grandissants dans ce domaine à tous les niveaux, primaire comme secondaire,
qu’une meilleure implication de l’éducation nationale permette d’assainir les statuts souvent scandaleux des personnels et permette la prise en charge des salaires des personnels,
que la réhabilitation immobilière et l’extension du parc immobilier relèvent du service public.
Fait à Paris, le 16 juillet 2007