Emplois à pourvoir dans les services et les établissements culturels, scientifiques et de coopération



flecheConseiller de coopération et d'action culturelle


Collaborateur direct de l'Ambassadeur, il assure la direction et la coordination de l'ensemble des services et établissements culturels placés sous son autorité, définit et répartit les moyens nécessaires à la conduite de leurs actions respectives, assure par délégation de l'agence pour l'Enseignement français à l'étranger la tutelle des établissements d'enseignement, négocie avec ses partenaires locaux les grandes orientations de la politique de coopération culturelle, audiovisuelle, linguistique, universitaire, scientifique et technique. Il a une bonne connaissance des systèmes français d'enseignement et de recherche. Il est , notamment, le correspondant de l'agence EduFrance. Il assure également une veille scientifique et technologique, en liaison avec les milieux scientifiques, et éventuellement industriels, concernés.


A-001 BELGIQUE (Bruxelles) :

Le conseiller de coopération et d'action culturelle a en charge l'ensemble de la coopération culturelle, scientifique et éducative avec la Belgique (Flandre, Communauté française, Communauté germanophone et grandes institutions fédérales). Il assure également la tutelle des établissements d'enseignement français, celle de l'Alliance française et du Centre européen de langue française, avec une mission particulière concernant la formation au français des fonctionnaires de l'Union européenne, ainsi que celle de la Délégation culturelle et pédagogique de Gand, plus spécialement chargée de l'action en Flandre.

Universitaire ou haut fonctionnaire, le candidat aura exercé préalablement des fonctions administratives et de gestion de responsabilité.

Sont en outre requises pour ce poste de bonnes capacités d'analyse politique, une familiarité avec les milieux de l'enseignement supérieur et de la recherche ainsi qu'une bonne connaissance des réseaux culturels français.

La connaissance du néerlandais serait très appréciée.

A-002 BOSNIE (Sarajevo) :

Sous l'autorité de l'Ambassadeur, le conseiller de coopération et d'action culturelle assure la définition, la programmation et le suivi des actions de coopération culturelle, linguistique, audiovisuelle, scientifique et technique. Il assure particulièrement le suivi de nos interventions dans les domaines prioritaires que sont le système judiciaire, la médecine, les médias, les échanges de jeunes, et le recyclage des professeurs de français.

Le candidat devra se prévaloir de compétences polyvalentes et d'expérience de l'administration culturelle et du réseau. Il devra posséder en outre une connaissance de la région des Balkans et plus généralement du monde slave.

La maîtrise de la langue serbo-croate serait un atout, celle de l'anglais indispensable.

A-003 CONGO  (Brazzaville) :

Le conseiller de coopération et d'action culturelle, qui relève de l'autorité directe de l'Ambassadeur, conduit la mise en oeuvre de la politique de coopération. dans les domaines suivants : justice, santé, économie et finances, fonction publique, développement rural, insertion des jeunes, ainsi que de l'aide humanitaire. Il assure également la conduite et la gestion d'importants projets du fonds de solidarité prioritaire ainsi que le suivi des bourses. La supervision de deux centres culturels et de deux lycées français (Brazzaville et Pointe Noire) relève de sa compétence.

Fonctionnaire de catégorie A, le conseiller doit faire preuve d'une grande polyvalence, d'une bonne adaptabilité et d'une réelle disponibilité. Une expérience réussie dans le réseau et une parfaite connaissance des procédures du Département sont requises.

A-004 COSTA RICA (San José) :

Conseiller régional pour l'Amérique centrale

Le conseiller de coopération et d'action culturelle pour l'Amérique centrale a la responsabilité de la définition, sous l'autorité conjointes des six Ambassadeurs de France de sa zone de compétence (Costa Rica, El Salvador, Guatemala, Honduras et Panama) du programme régional et des programmes bilatéraux de coopération culturelle, scientifique et technique.. Il doit veiller à la bonne coordination de ces programmes par les attachés régionaux et les Postes en liaison avec les directeurs des alliances françaises. Il a en outre pour mission l'identification des projets renforçant l'intégration centraméricaine, la recherche des cofinancements de projets avec les bailleurs de fonds multilatéraux, notamment dans le domaine de la promotion de l'enseignement du français, de la coopération universitaire, du renforcement de l'état de droit et de la coopération culturelle.

Il est également directeur du centre culturel et de coopération pour l'Amérique centrale, établissement à autonomie financière et supervise le fonctionnement des établissements relevant de l'AEFE.

De formation supérieure, le candidat doit avoir une parfaite maîtrise des mécanismes de notre coopération ; le poste ne pourra convenir à un débutant.

La connaissance de la langue espagnole est indispensable.

A-005 CROATIE (Zagreb) :

Le conseiller de coopération et d'action culturelle à ZAGREB est également directeur du centre culturel et de coopération linguistique, établissement doté de l'autonomie financière. Il est responsable de l'élaboration de l'ensemble de la programmation culturelle du poste, aussi bien dans le domaine scientifique et technique, que linguistique ou artistique. Il est également chargé de la mise en oeuvre de la politique de coopération universitaire (bourses, missions, invitations). Il veille également à l'exécution du programme de coopération en matière de promotion du français, dans les écoles et les lycées, mais aussi auprès des adultes à travers les cours et certifications (DELF - DALF).

De formation universitaire, le candidat devra avoir de préférence déjà exercé avec succès des responsabilités au sein du réseau culturel français à l'étranger. Une bonne connaissance des programmes communautaires est requise..

La connaissance du croate serait un atout, celle de l'anglais est indispensable.

A-006 DANEMARK (Copenhague) :

Le conseiller est à la fois conseiller de coopération et d'action culturelle, directeur de l'institut français et responsable de la coordination du réseau des alliances françaises. Il est conseiller de l'Ambassadeur pour tout ce qui touche au scientifique, à l'universitaire, au linguistique et au culturel. Il supervise également le fonctionnement du lycée français.

De formation universitaire, le candidat doit disposer d'une compétence confirmée en matière de gestion humaine et financière, avoir la maîtrise de l'anglais et de l'informatique. L'expérience de direction d'un service comparable dans le réseau serait un atout.

A-007 ESTONIE (Tallinn) :

Le conseiller de coopération et d'action culturelle est également directeur du centre culturel français, établissement doté de l'autonomie financière. Il assure la conception, la gestion et l'animation des relations de coopération dans tous les domaines (culturel, linguistique et éducatif, scientifique, universitaire et technique). Il assure la veille multilatérale et suit notamment les programmes européens. En tant que directeur de CCF il encadre une équipe et veille à la croissance de cet établissement.

Doté d'une capacité confirmée de dynamisme, de réflexion, de négociation et d'adaptation, le candidat doit posséder une solide connaissance de la coopération culturelle et de ses mécanismes de gestion. Un parfaite maîtrise de la langue anglaise est indispensable, celle de l'allemand ou du russe souhaitable.

A-008 GEORGIE (Tbilissi) :

Le conseiller de coopération et d'action culturelle sera chargé, sous l'autorité de l'Ambassadeur, de la mise en oeuvre de la programmation culturelle, universitaire, audiovisuelle, scientifique et technique. Depuis la conception, la gestion et l'animation des projets dans le domaine culturel, (échanges artistiques, livre, centre de ressources), ses compétences s'étendent à la promotion du français, à l'audiovisuel, aux domaines éducatif, scientifique et universitaire ainsi qu'à la coopération technique.

Le candidat sera déjà familier des procédures de programmation, des structures du ministère des affaires étrangères ainsi que des programmes de coopération européens et multilatéraux. La maîtrise du russe est indispensable, celle de l'anglais également pour le secteur multilatéral, celle du géorgien serait un atout. Une expérience réussie dans un pays d'Europe centrale ou orientale ou dans un des nouveaux Etats indépendants serait souhaitable.

A-009 GUINEE EQUATORIALE (Malabo) :

Le conseiller de coopération et d'action culturelle est responsable, sous l'autorité de l'Ambassadeur, de la conception et de la mise en oeuvre de l'ensemble de nos interventions. dans le domaine de la coopération technique et celui de nos actions linguistiques et de diffusion culturelle. A ce titre, il supervise les activités des deux centres culturels du pays (Malabo et Bata).

Le candidat disposant d'une formation supérieure et d'une expérience confirmée du développement, devra faire preuve de réelles capacités d'adaptation. La connaissance de la langue espagnole est requise ainsi qu'une bonne maîtrise de l'informatique et des procédures du réseau.

A-011 LITUANIE (Vilnius) :

Le conseiller de coopération et d'action culturelle assure la mise en oeuvre, la gestion et le suivi de la programmation de nos actions de coopération culturelle-artistique, linguistique-éducative, technique (bilatérale et multilatérale), scientifique et universitaire. Il est également directeur du centre culturel français de Vilnius, établissement doté de l'autonomie financière, et à ce titre doit rechercher des mécénats.

Le candidat doit avoir une connaissance approfondie des procédures et mécanismes propres aux différents domaines de notre coopération (gestion, programmation, COCOP...) et des structures du Département ainsi que du réseau. Une bonne maîtrise de l'anglais, éventuellement du russe et de l'outil informatique est indispensable. Il doit avoir un goût prononcé pour les relations publiques.

A-012 MAURICE (Port-Louis) :

Le conseiller de coopération et d'action culturelle conçoit et met en oeuvre la politique de coopération bilatérale. Il veille à la cohérence des actions menées par les établissements du réseau culturel français et les établissements scolaires à programmes français. Il dirige l'équipe du service et des organismes qui en dépendent et supervise la gestion des personnels français. Il élabore la programmation des crédits d'intervention et de ceux destinés au fonctionnement du service de coopération et d'action culturelle et en suit la consommation. Il préside diverses commissions et assure des fonctions de représentation et de contacts avec les autorités et la société locales.

La maîtrise de l'anglais est indispensable, celle des outils informatique est un atout.. Il doit avoir un goût prononcé des relations publiques.

A-013 PEROU (Lima) :

Le conseiller de coopération et d'action culturelle est responsable, sous l'autorité directe de l'Ambassadeur, de l'élaboration et de la mise en oeuvre de la programmation culturelle, linguistique, universitaire, scientifique et technique du poste. Il doit veiller à ce titre au fonctionnement harmonieux du réseau des alliances françaises et d'un établissement de recherche scientifique à vocation régionale, l'institut français d'études andines qui a son siège à Lima. Il assure la gestion du Fonds de contrepartie Pérou-France (d'aide alimentaire pour le développement) .Il est assisté dans ses tâches d'une équipe, notamment d'un attaché culturel, d'un attaché de coopération universitaire et d'un secrétaire général.

Universitaire ou haut fonctionnaire, le candidat devra faire preuve de compétences polyvalentes et d'un certain goût pour la représentation. Il devra disposer de solides qualités d'animateur d'équipe ainsi que d'une parfaite maîtrise de la langue espagnole.

A-014 POLOGNE (Varsovie) :

Le conseiller de coopération et d'action culturelle est également directeur de l'Institut français de Varsovie, du Centre de civilisation française et du CEFFIC (Centre français de formation et d'information des cadres). Il suit la problématique des pays candidats à l'entrée dans l'Union européenne. Il assure la mise en oeuvre de notre politique de promotion de la langue française, des programmes de coopération technique bilatérale, de leur articulation avec les programmes communautaires et de la coopération décentralisée.

Le candidat doit être un agent expérimenté ayant déjà exercé les mêmes responsabilités. Il doit avoir une bonne connaissance des réseaux universitaire et artistique français et posséder une aptitude marquée à la coordination afin d'assurer avec autorité le fonctionnement cohérent de notre dispositif en Pologne, qui comporte, outre le service de coopération, un réseau d'établissements culturels, ainsi qu'un lycée.

A défaut de la maîtrise de la langue polonaise qui serait souhaitable, celle de la langue anglaise est nécessaire, celle de l'allemand est un atout.

A-015 ROUMANIE (Bucarest) :

Le conseiller de coopération et d'action culturelle est également directeur de l'Institut français, établissement doté de l'autonomie financière. Il suit la double problématique des pays ayant l'usage de la langue française en partage et de celle des pays candidats à l'entrée dans l'Union européenne. Il monte des projets de coopération selon les procédures de la coopération bilatérale et assure son articulation avec les programmes multilatéraux notamment communautaires et avec la coopération décentralisée.

Responsable d'un important réseau d'établissements culturels à autonomie financière élargie, il organise et suit la gestion de l'ensemble du dispositif. Il veille à la cohérence des activités des alliances françaises bénéficiant de notre appui avec les priorités de notre coopération culturelle et en faveur de la langue française. Par délégation du directeur de l'Agence pour l'enseignement français à l'étranger, Il assure également la tutelle du lycée français.

Le candidat doit posséder une expérience dans le réseau culturel français à l'étranger ou dans des structures de même niveau. Une expérience au sein de l'administration centrale du Département est un atout.
La connaissance de la langue roumaine est souhaitable et celle de la langue anglaise indispensable, notamment pour travailler dans le cadre multilatéral.

A-016 SAINTE-LUCIE (Castries)

Le conseiller de coopération et d'action culturelle est responsable de l'ensemble du programme de coopération avec les six Etats de l'OECS (St Kitts et Niéves, Dominique, Ste Lucie, St Vincent et les Gredadines, Grenade, Antigua et Barbade). Il dirige le service de coopération et d'action culturelle. Il participe au développement de la coopération régionale en relation avec les collectivités territoriales des départements français d'Amérique et plus spécialement participe à l'instruction des projets du Fonds d'Intervention pour les Caraïbes. Il assure les relations avec les autres bailleurs de fonds en particulier l'Union Européenne. Il suit particulièrement les secteurs de la santé, les questions économiques et institutionnelles.

Le candidat, de formation universitaire, fonctionnaire expérimenté, doit avoir une bonne maîtrise des questions de coopération et de développement et du fonctionnement du Département La connaissance de la langue anglaise est indispensable.

A-017 SLOVENIE (Ljubljana) :

Le conseiller de coopération et d'action culturelle élabore et met en oeuvre, sous l'autorité de l'Ambassadeur, notre politique en matière de coopération culturelle, universitaire, audiovisuelle, scientifique et technique. Il doit suivre également les programmes multilatéraux notamment communautaires.

Il assure en outre la direction de l'Institut français Charles Nodier.

Le candidat doit faire preuve de goût pour l'animation d'équipe, d'une autorité affirmée de management et de compétences administratives. Il doit posséder une bonne expérience de l'action culturelle et du réseau. La connaissance de la langue anglaise est indispensable, celles de l'allemand et d'une langue slave sont bienvenues. La maîtrise de l'outil informatique est nécessaire.

A-018 SOUDAN (Khartoum) :

Le conseiller de coopération et d'action culturelle est également directeur du centre culturel français de Khartoum, établissement doté de l'autonomie financière.

Il assure la mise en oeuvre de projets dans tous les domaines de coopération.

Le candidat, cadre A doté d'une expérience confirmée des mécanismes de coopération doit posséder une connaissance du monde arabo-musulman. Dynamisme et sens du dialogue sont des qualités fondamentales. Il doit être rompu à la direction d'équipe et à la gestion.

La connaissance de la langue anglaise est indispensable, celle de la langue arabe souhaitable.

A-019 SRI LANKA ET MALDIVES (Colombo)

Le conseiller de coopération et d'action culturelle est directeur de l'Alliance française de Colombo. Il coordonne à ce titre les activités de deux autres implantations de l'Alliance au Sri Lanka. Il est chargé du développement de tous les secteurs de coopération prioritaires pour le Ministère des affaires étrangères, de même qu'il supervise le fonctionnement de l'école française créée par l'association des parents d'élèves. Bon connaisseur de l'action culturelle extérieure française (audiovisuelle, scientifique, technique, universitaire), il maîtrise les techniques de programmation et de gestion, et s'exprime aisément en anglais.

A-020 SUEDE (Stockholm) :

Le conseiller de coopération et d'action culturelle définit et assure la mise en oeuvre de notre politique dans les domaines scientifique, technique, universitaire, audiovisuel, linguistique et culturel. Il a pour mission, sous l'autorité directe de l'Ambassadeur, de veiller à la mise en place des bases d'un renouveau durable de notre présence culturelle dans tous les domaines traditionnels de notre coopération. Il est doté d'un adjoint spécialement chargé de la coopération culturelle.

Universitaire ou haut fonctionnaire, le candidat doit faire preuve d'une bonne connaissance des procédures du Département

Une parfaite maîtrise de l'anglais est indispensable, celle du suédois serait un atout.

A-021 SUISSE (Berne) :

Le conseiller de coopération et d'action culturelle définit, sous l'autorité directe de l'Ambassadeur, les priorités de la politique de coopération : renforcement de la présence culturelle, linguistique et scientifique, développement de la coopération universitaire et des relations transfrontalières.

Il assure en outre la tutelle des établissements d'enseignement (Berne, Zurich).

Doté d'une solide culture générale et d'une grande disponibilité, le candidat doit posséder une très bonne connaissance et d'une pratique approfondie du réseau culturel et artistique en France. La maîtrise de la langue allemande est nécessaire.