Collaborateur direct de l'ambassadeur, il assure la direction et la coordination de l'ensemble des services et établissements culturels et de recherche placés sous son autorité, définit et répartit les moyens nécessaires à la conduite de leurs actions respectives, assure par délégation de l'agence pour l'enseignement français à l'étranger (AEFE) la tutelle des établissements d'enseignement, négocie avec ses partenaires locaux les grandes orientations de la politique de coopération culturelle, audiovisuelle, linguistique, universitaire, scientifique et technique. Il a une bonne connaissance des systèmes français d'enseignement et de recherche. Il est, notamment, le correspondant de l'agence Edufrance. Il assure également une veille scientifique et technologique, en liaison avec les milieux scientifiques, et éventuellement industriels, concernés. Dans les pays de la zone de solidarité prioritaire, il est le maître d'oeuvre d'une coopération technique qui repose sur la maîtrise des procédures de l'assistance technique et de la gestion de projets FSP (fonds de solidarité prioritaire), des mécanismes de financements internationaux et de la problématique de l'aide publique au développement.
Les candidatures à ces postes sont examinées par une commission spécialisée.
TRANSPARENCE INTERMEDIAIRE 17/04/2003 :
A-031 PORTUGAL (Lisbonne)
Sous l'autorité de l'Ambassadeur, le conseiller de coopération et
d'action culturelle définit et met en œuvre la politique culturelle et de
coopération du poste dans tous les domaines (artistique, audiovisuel,
linguistique, éducatif, universitaire et scientifique). Il assure l'encadrement
de 20 agents français expatriés, d'une cinquantaine d'agents, recrutés locaux
et d'une centaine de personnels enseignants des 2 lycées, ainsi que la tutelle
des réseaux culturel (2 instituts, 20 alliances françaises) et scolaire (2
établissements). Il est également le directeur de l'institut franco-portugais
de Lisbonne, établissement doté de l'autonomie financière.
Cadre A de la fonction publique, le candidat, doit avoir une expérience
confirmée de l'action culturelle extérieure et de la gestion humaine et
financière. Une expérience à l'administration centrale est souhaitée. Il
doit également être très disponible, ouvert aux contacts et posséder de
bonnes capacités d'analyse. La maîtrise du portugais serait un atout
supplémentaire.
TRANSPARENCE INTERMEDIAIRE (16 décembre 2002)
A029 BOSNIE HERZEGOVINE (Sarajevo)
Sous l'autorité de l'ambassadeur, le conseiller de coopération et
d'action culturelle assure la définition, la programmation et le suivi des
actions de coopération culturelle, linguistique, audiovisuelle, scientifique et
technique. Il assure particulièrement le suivi de nos interventions dans les
domaines prioritaires que sont le système judiciaire, la médecine, les médias,
les échanges de jeunes, et le recyclage des professeurs de français.
Cadre A de la fonction publique ou équivalent, le candidat devra se prévaloir
de compétences polyvalentes et d'expérience de l'administration culturelle et
du réseau. Il devra posséder en outre une connaissance de la région des
Balkans et plus généralement du monde slave. La maîtrise de la langue
serbo-croate serait un atout, celle de l'anglais est indispensable.
A030 VIETNAM (Hanoï)
Le conseiller de coopération et d'action culturelle cumule ses fonctions
avec celles de directeur du centre culturel et de coopération de Hanoï. Il définit
les orientations de notre politique de coopération culturelle, scientifique et
technique avec le Vietnam. Il coordonne et anime une importante équipe. Il
assume la concertation avec les bailleurs de fonds bi et multilatéraux et les
ONG. Outre sa connaissance de l'offre et des stratégies de la France dans les
différents domaines de coopération (éducatif et linguistique, universitaire,
culturel, scientifique et technique, développement), le candidat devra faire
preuve de qualités de gestionnaire pour diriger l'établissement à autonomie
financière.
Cadre A de la fonction publique ou équivalent, il devra avoir, si possible, une
expérience identique antérieure ou celle d'un poste de responsabilité en
administration centrale. Doté de bonnes qualités d'adaptation, il sera capable
de négocier à haut niveau dans tous les secteurs concernés. La connaissance
de la langue vietnamienne serait un atout, celle de l'anglais est indispensable.
A001 ALBANIE (Tirana)
Le conseiller de coopération et d'action culturelle, chef du
service de coopération et d'action culturelle, est chargé d’encadrer
et d’orienter les actions culturelles, éducatives et de coopération
du poste, dont il répartit les moyens nécessaires dans le cadre
de sa programmation, sous l'autorité et en collaboration étroite
avec l’ambassadeur. Il établit en concertation avec ses collaborateurs
la programmation du poste (invitations, bourses, actions culturelles
ou de coopération éducative et technique). Il assure également le
suivi des programmes multilatéraux auprès des différents donneurs
(UE, Banque mondiale, PNUD…).
Il serait souhaitable que le candidat, cadre A de la fonction publique
ou équivalent, possède une formation universitaire et une expérience
acquise dans le domaine de la coopération technique. Une connaissance
des procédures de comptabilité publique et des marchés publics ainsi
qu'une connaissance du réseau universitaire serait un atout. La
maîtrise de la langue anglaise est indispensable. La connaissance
des logiciels de bureautique courants est nécessaire.
A002 ARABIE SAOUDITE (Riyad)
Collaborateur direct de l’ambassadeur et sous son autorité,
le conseiller de coopération et d'action culturelle est chargé de
la définition, de la conception et de la mise en œuvre des programmes
de coopération linguistique, culturelle, scientifique, technique,
médicale et universitaire avec l’Arabie Saoudite.
Le profil recherché est celui d’un généraliste si possible doté
de compétences particulières dans le suivi des dossiers AEFE et
des établissements linguistiques à statut particulier. Le poste
requiert un agent expérimenté sachant faire preuve de rigueur et
de ténacité. Une excellente connaissance de l’anglais est indispensable.
Un bon niveau en arabe serait un atout non négligeable.
A003 ARGENTINE (Buenos-Aires)
Le conseiller de coopération et d'action culturelle a en charge
l’ensemble de la coopération culturelle, scientifique et technique.
Il assure également la tutelle de deux établissements de l’AEFE
(1500 et 500 élèves), celle des Alliances françaises (80 centres)
et d’un centre de hautes études en sciences sociales. Il assure
enfin la coordination de notre action bilatérale avec les programmes
multilatéraux de l’Union européenne et de la BID notamment.
Cadre A de la fonction publique ou équivalent, expérimenté, le candidat
possédera une bonne connaissance des réseaux universitaires et artistiques
français et une aptitude marquée pour la coordination. Il devra
être d’une grande disponibilité pour assurer le fonctionnement cohérent
de notre dispositif. La connaissance de la langue espagnole est
indispensable.
A004 BENIN (Cotonou)
Chef du service de coopération et d'action culturelle, le titulaire
du poste assure, sous l’autorité directe de l’ambassadeur, la direction
et la coordination du service de coopération et d'action culturelle.
Il est chargé de la conception de la stratégie de la coopération
française au Bénin, de la programmation, de la mise en œuvre et
de la gestion de l’ensemble de ses moyens.
Cadre A de la fonction publique ou équivalent, titulaire d’un diplôme
universitaire général de troisième cycle, le candidat possédera,
si possible, des connaissances en économie, une expérience en matière
d’aide publique au développement, ainsi qu'une pratique des procédures
administratives et comptables de la mise en œuvre des projets dans
la zone de solidarité prioritaire.
A005 BOTSWANA (Gaborone) à pourvoir début 2003
Le conseiller de coopération et d'action culturelle définit
et met en oeuvre, sous l'autorité de l'ambassadeur, les grandes
orientations de la politique de coopération. Il veille au bon déroulement
des projets du titre VI (FSP et FSD) et de ceux de la programmation
sur titre IV. Il suit notre action en faveur de la SADC (communauté
de développement de l'Afrique australe).
Cadre A de la fonction publique ou équivalent, le candidat possède
un profil à dominante technique et scientifique en plus d'une large
culture du développement. En outre il aura une expérience dans la
gestion des finances publiques et des fonds européens et devra avoir
la capacité d'animer des équipes, de négocier avec les partenaires
nationaux, multilatéraux et bilatéraux. La maîtrise de la langue
anglaise et la connaissance des nouvelles technologies de l'information
et de la communication sont indispensables.
A006 BRESIL (Brasilia)
Le candidat a ce poste sera un cadre A de la fonction publique,
ou équivalent, ayant eu, de préférence, des responsabilités dans
le domaine de la coopération universitaire internationale. Il devra
faire preuve d'une connaissance approfondie des procédures de la
coopération multilatérale. Dans le domaine artistique, il sera familier
des réseaux français et apte à mobiliser des concours extérieurs
à ceux de l'Etat.
Il exercera son autorité sur un réseau comportant le service de
coopération et d'action culturelle à Brasilia et ses antennes de
Rio de Janeiro et de Sao Paulo. Il animera également le réseau le
plus important d'Alliances françaises du continent, et exercera,
par délégation du directeur de l'agence pour l'enseignement français
à l'étranger, la tutelle des trois établissements scolaires.
Ce poste, outre une parfaite maîtrise de la langue portugaise, requiert,
à côté d'une rigueur administrative avérée, des qualités relationnelles,
une réelle aptitude aux contacts et le goût de la représentation.
A007 BURUNDI (Bujumbura)
Sous l’autorité de l’ambassadeur, le conseiller de coopération
et d'action culturelle est chargé de la direction des actions de
coopération, de l’aide alimentaire, budgétaire et institutionnelle.
Cet agent anime une équipe d’assistants techniques et volontaires
de haut niveau (ingénieurs, docteurs en médecine, macro économistes)
et supervise les activités du centre culturel français.
Il est souhaitable que le candidat, cadre A de la fonction publique
ou équivalent, possède un profil à dominante technique avec des
connaissances en macro économie. Des qualités générales d’animateur
et de planificateur sont requises en sus d’une large culture du
développement aussi bien technique que culturel. Une forte capacité
d’écoute vis à vis des partenaires (autorités nationales, bailleurs
de fonds et organisations de la société civile) est indispensable.
Il devra d’autre part savoir travailler en milieu multiculturel.
A008 CAMEROUN (Yaoundé)
Chef du service de coopération et d'action culturelle, sous
l’autorité de l’ambassadeur, le conseiller est chargé de la mise
en œuvre de la politique de coopération bilatérale franco-camerounaise
sous toutes ses formes : bourses, projets FSP, assistance technique,
remise de dette, etc... Il dirige un service d’une vingtaine de
personnes. Il est responsable des relations avec les autorités camerounaises
pour tout ce qui concerne la mise en œuvre (identification, préparation,
exécution, évaluation) des actions de coopération.
Cadre A de la fonction publique ou équivalent, possédant des compétences
en économie du développement et management, parlant l'anglais, le
candidat devra avoir, si possible, une expérience en matière de
coopération pour le développement ainsi qu'une pratique des procédures
administratives et comptables de la mise en œuvre des projets dans
la zone de solidarité prioritaire.
A009 EGYPTE (Le Caire)
Le conseiller de coopération et d'action culturelle cumule ses
fonctions avec celles de directeur du centre français de culture
et de coopération. Il définit les orientations de notre politique
de coopération culturelle, scientifique et technique avec l'Egypte.
Il coordonne et anime une importante équipe. Outre sa connaissance
de l'offre et des stratégies de la France dans les différents domaines
de coopération (éducatif et linguistique, universitaire, culturel,
scientifique et technique, développement), le candidat devra faire
preuve de qualités de gestionnaire pour diriger l'établissement
à autonomie financière.
Cadre A de la fonction publique ou équivalent, il devra avoir, si
possible, une expérience identique antérieure ou celle d'un poste
de responsabilité en administration centrale. Doté de bonnes qualités
d'adaptation, il sera capable de négocier à haut niveau dans tous
les secteurs concernés. La connaissance de l'arabe serait un atout,
celle de l'anglais est indispensable.
A010 EMIRATS ARABES UNIS (Abou-Dhabi)
Responsable du service de coopération et d'action culturelle,
cet agent exerce ses fonctions sous l'autorité directe de l'ambassadeur.
Il a en charge la conception, l'organisation, la mise en oeuvre
et le suivi de la coopération franco-émirienne dans les domaines
linguistique, culturel, universitaire, scientifique et technique.
Il a également autorité sur les deux lycées français d'Abou Dhabi
et de Doubaï-Charjah ainsi que sur les deux Alliances françaises
d'Abou Dhabi et de Doubaï.
Ce poste conviendrait à un agent ayant une bonne connaissance du
monde arabe et/ou une expérience confirmée de notre action culturelle
à l'étranger, alliées à un sens aigu des relations humaines et du
travail en équipe. La maîtrise de l'anglais oral et écrit est indispensable,
celle de l'arabe est souhaitée.
A011 ESTONIE (Tallinn)
Sous l’autorité de l’ambassadeur et en concertation avec la
direction générale de la coopération internationale et du développement
(DGCID), le conseiller de coopération et d’action culturelle est
chargé de définir les orientations de l’ambassade dans les domaines
relevant de sa compétence (coopération technique, universitaire,
recherche et développement, promotion du français, audiovisuel et
échanges culturels) et de préparer le budget annuel relatif au financement
de ces secteurs. Il est également responsable de l’exécution du
budget approuvé et coordonne avec ses collaborateurs, les opérateurs
et les partenaires la mise en œuvre et le suivi des projets de coopération.
Il est également chargé du suivi des programmes de pré-adhésion
à l’UE.
En qualité de directeur du centre culturel français de Tallin (promotion
du français et coopération culturelle) il est responsable de la
préparation du budget d’un établissement à autonomie financière
et de son exécution.
Le poste requiert une expérience confirmée en matière de gestion
administrative et financière, une bonne connaissance méthodologique
des projets de coopération et du fonctionnement des programmes européens
et une aptitude à l’organisation et au travail en équipe. La maîtrise
de l’anglais est indispensable.
A012 GABON (Libreville)
Sous l'autorité directe de l'ambassadeur, le conseiller de coopération
et d'action culturelle est chargé de l’analyse de la situation du
développement économique et social du pays et participe à l’élaboration
de la stratégie d’aide française et européenne et à la coordination
des aides extérieures multilatérales et bilatérales. Il est responsable
de la mise en œuvre de l’aide française sur don, de la programmation,
du suivi et de l’évaluation de cette aide ainsi que de l’animation
et de la coordination de l’assistance technique française et des
actions de coopération décentralisée et/ou non gouvernementale.
Il est également responsable des opérations de diffusion culturelle
et d’appui à la francophonie et du suivi de la scolarisation des
enfants français. Compte tenu de la situation du Gabon et de la
présence du conseiller multimission forêt et environnement, il est
particulièrement concerné par les questions d’environnement, la
problématique des biens publics mondiaux et les questions de développement
durable.
Cadre A de la fonction publique ou équivalent, expérimenté ayant
de bonnes connaissances en économie du développement et en finances
publiques, le candidat devra, si possible, avoir une expérience
de la gestion des fonds publics français et européens, la capacité
d’animer des équipes très diverses, de négocier avec les partenaires
nationaux, multilatéraux et bilatéraux. La maîtrise de la langue
anglaise et la connaissance des logiciels de bureautique sont souhaitables.
A013 GHANA (Accra)
La fonction de chef du service de coopération et d'action culturelle
au Ghana nécessite une connaissance de la problématique de la coopération
dans toutes ses dimensions : culturelle, linguistique, universitaire,
scientifique et technique. Cette coopération qui s’inscrit dans
le cadre des actions mises en place dans les pays de la zone de
solidarité prioritaire nécessite en particulier une maîtrise des
procédures encadrant les projets du fonds de solidarité prioritaire
(FSP) et la gestion des crédits déconcentrés du fonds social de
développement (FSD). Ce poste requiert, à côté d’une rigueur administrative
avérée, des qualités relationnelles, une réelle aptitude aux contacts
et le goût de la représentation.
Cadre A de la fonction publique ou agent expérimenté ayant exercé
des fonctions de responsabilités, dans les réseaux culturels et
de coopération ou équivalent soit à l’étranger soit en administration
centrale, le candidat devra être parfaitement anglophone.
A014 HAITI (Port au Prince)
Chef du service de coopération et d'action culturelle, le conseiller
de coopération et d'action culturelle est responsable, sous l’autorité
de l’ambassadeur, de la définition et de la mise en œuvre de la
politique de coopération bilatérale. Il veille au bon déroulement
des projets du titre VI (FSP et FSD) et de ceux de la programmation
sur titre IV.
Par délégation de l’ambassadeur, le conseiller de coopération et
d'action culturelle a autorité sur tous les agents du service de
coopération et d'action culturelle, les assistants techniques, les
personnels du lycée français et des établissements culturels, dont
il supervise les activités. Il assume également la concertation
avec les bailleurs de fonds bi et multilatéraux et les ONG.
Ce poste requiert une bonne connaissance des procédures de la DGCID,
des mécanismes de coopérations propres au titre VI (FSP/FSD) et
s’adresse à un agent ayant une forte appétence pour les problématiques
du développement, possédant des qualités de gestionnaire et une
bonne capacité relationnelle et d'animation.
A015 INDONESIE (Jakarta)
Le conseiller assure la direction du service de coopération
et d'action culturelle. Sous l'autorité directe de l'ambassadeur,
il définit les orientations du poste en matière de coopération technique,
scientifique, linguistique et d'action culturelle, propose la programmation
annuelle des actions, suit la mise en œuvre des projets et organise
leur évaluation. Il coordonne le réseau des neufs alliances françaises
d’Indonésie. Une expérience dans ce type de fonctions est souhaitable,
la connaissance de la langue anglaise est indispensable.
A016 IRAN (Téhéran)
Le conseiller de coopération et d'action culturelle définit
et met en œuvre, sous l’autorité de l’ambassadeur, la politique
de coopération culturelle, scientifique et technique avec la République
islamique d’Iran. Il est également directeur de l’Institut français
de Téhéran et sera, à ce titre, chargé d’animer le centre culturel
virtuel. Il devra avoir une bonne connaissance informatique et devra
parler couramment l'anglais, la maîtrise du persan serait un atout.
A018 LETTONIE (Riga)
Sous l’autorité de l’ambassadeur et en concertation avec la
direction générale de la coopération internationale et du développement,
le conseiller de coopération et d’action culturelle est chargé de
définir les orientations de l’ambassade dans les domaines relevant
de sa compétence (coopération technique, universitaire, recherche
et développement, promotion du français, audiovisuel et échanges
culturels) et de préparer le budget annuel relatif au financement
de ces secteurs. Il est également responsable de l’exécution du
budget approuvé et coordonne avec ses collaborateurs, les opérateurs
et les partenaires la mise en œuvre et le suivi des projets de coopération.
Il est également chargé du suivi des programmes de pré adhésion
à l’UE. En qualité de directeur du centre culturel français de Riga
(promotion du français et coopération culturelle) il est responsable
de la préparation du budget (et de son exécution) d’un établissement
à autonomie financière.
Le poste requiert une expérience confirmée en matière de gestion
administrative et financière, une bonne connaissance méthodologique
des projets de coopération et du fonctionnement des programmes européens
et une aptitude à l’organisation et au travail en équipe. La maîtrise
de l’anglais est indispensable.
A019 LIBYE (Tripoli)
Le conseiller de coopération et d'action culturelle (COCAC)
de Tripoli assume à la fois la direction du service de coopération
et d'action culturelle (SCAC) et de l'Institut culturel français
de Tripoli.
Au titre de cette première mission, il définit et met en oeuvre
la politique de coopération du poste en étroite collaboration avec
l'ambassadeur et sous l'autorité de celui-ci. S'agissant d'un pays
avec lequel les relations politiques et culturelles redémarrent,
le SCAC doit faire face au développement de l'ensemble de ses activités.
Il s'agira d'assurer le suivi de la mise en oeuvre des projets actés
dans le procès verbal de la commission mixte franco-libyenne prévue
en octobre 2002, dans les trois domaines retenus en priorité : la
formation des élites et la diffusion du français (rétablissement
dans le secondaire), la valorisation du patrimoine touristique et
archéologique, et la coopération environnementale. Il conviendra
également d'étendre le rayon d'action du SCAC et notamment en direction
de Benghazi où les attentes à l'égard de la France sont fortes.
Le conseiller se doit également de veiller aux intérêts et à la
bonne marche de l'école française de Tripoli. En sa qualité de directeur
de l'ICF, le conseiller devra animer une équipe de dix personnes
chargée de l'enseignement du français (700 étudiants/an), de la
médiathèque-centre de ressources, de l'animation culturelle et de
l'espace Edufrance inclus dans les locaux de l'établissement. Il
sera également chargé de la gestion financière de l'établissement.
Une expérience de la direction d'établissement culturel est préférable
et une bonne connaissance de l'arabe écrit et parlé souhaitable
dans un pays exclusivement arabophone. A défaut celle de l'anglais
paraît indispensable.
A020 NAMIBIE (Windhoek)
Le conseiller assure la direction du service de coopération
et d'action culturelle. Sous l'autorité directe de l'ambassadeur,
il définit les orientations du poste en matière de coopération technique,
scientifique, linguistique et d'action culturelle, propose la programmation
annuelle des actions, suit la mise en œuvre des projets et organise
leur évaluation.
Le candidat possédera une connaissance approfondie des procédures
administratives et comptables de la coopération, ainsi qu’une excellente
maîtrise de l’anglais, outre les qualités qu’on peut attendre d’un
chef de service destiné à animer une équipe multidisciplinaire.
A021 NOUVELLE-ZELANDE (Wellington)
Le conseiller de coopération et d'action culturelle doit veiller
à la bonne marche de l'ensemble des activités traditionnelles du
service de coopération et d'action culturelle : coordination des
échanges artistiques, promotion des échanges universitaires, renforcement
de la coopération scientifique bilatérale, suivi de l'aide technique
aux Etats insulaires du Pacifique (Samoa, îles Cook), développement
de l'enseignement du français.
La coopération scientifique et technologique représentant un volet
important de l'activité du service, il est peut être utile que le
conseiller dispose d'une formation scientifique. Par ailleurs, la
maîtrise parfaite de l'anglais est indispensable à la réussite des
actions entreprises. Le conseiller doit également faire preuve d'une
grande ouverture d'esprit, d'aisance à l'oral ainsi qu'à l'écrit,
d'une aptitude à motiver une équipe composée de profils divers.
A022 OUGANDA (Kampala)
Parfaitement anglophone, le conseiller de coopération et d'action
culturelle à Kampala met en œuvre, sous l’égide de l’Ambassadeur,
l’ensemble de la coopération franco-ougandaise bilatérale et
multilatérale, régionale dans le cadre de l’East african community.
Correspondant des institutions régionales basées à Nairobi notamment
l’AFD, l’IFRA, l'antenne OUA/IBAR, il assure l’information, le suivi
et la gestion des projets. Chef du service de coopération et d'action
culturelle, il anime une équipe pluridisciplinaire (éducation, promotion
du français, culture, coopération technique), gère le fonctionnement
du service, initie et met en œuvre les projets du FSP tous secteurs
confondus. Interlocuteur des partenaires nationaux (institutionnels,
société civile) il participe également aux réunions des autres bailleurs
tels l’Union européenne, la Banque mondiale, le FMI, les organismes
des Nations-unies et met en oeuvre les partenariats induits. Partenaire
du ministère des finances et de la Banque d’Ouganda, il est la cheville
ouvrière de la remise de la dette ougandaise (C2D) et de sa réallocation
(SIDA) via le ministère de la Santé.
Ce poste requiert une bonne connaissance des procédures de la direction
générale de la coopération internationale et du développement, des
mécanismes de coopérations propres au titre VI (FSP/FSD) et s’adresse
à agent ayant une forte appétence pour les problématiques du développement.
A023 RWANDA (Kigali)
Le conseiller de coopération et d'action culturelle, sous l'autorité
et par délégation de l'ambassadeur anime, coordonne et dirige les
activités du service de coopération et d'action culturelle. Il est
chargé de l'identification, de la préparation et de la mise en œuvre
des programmes et des actions de coopération en général ainsi que
de la gestion, de l'engagement et du mandatement des crédits correspondants.
Le centre d'échanges culturels franco-rwandais est placé sous sa
tutelle. La gestion des personnels culturels et de coopération ainsi
que de l'assistance technique est de sa compétence.
Le candidat doit avoir une aptitude d'adaptation à un environnement
spécifique et savoir faire preuve d'esprit de synthèse. Outre une
bonne connaissance de l'administration centrale, un sens de l'organisation
et de la direction d'équipe, il serait préférable qu'il possède
une expérience du développement en pays africain et des instruments
de développement, notamment des procédures FSP.
A024 SENEGAL (Dakar)
Sous l'autorité directe du chef de poste, le conseiller de coopération
et d'action culturelle définit, met en oeuvre et assure le suivi
de la politique de coopération franco-sénégalaise dans les domaines
culturel, linguistique, audiovisuel, scientifique et technique.
Il anime les réseaux culturel, d'enseignement français et d'assistance
technique. Il est le maître d'oeuvre du dialogue avec les autorités
nationales dans les domaines de sa compétence.
Fonctionnaire de catégorie A ou équivalent, son profil sera celui
d'un gestionnaire et d'un généraliste. Il devra faire preuve d'une
grande polyvalence, d'une bonne adaptabilité et d'une réelle disponibilité.
Une expérience réussie dans le réseau et une parfaite connaissance
des procédures du ministère des Affaires étrangères sont requises.
A025 SEYCHELLES (Victoria) à pourvoir au 01.03.2003
Le conseiller assure la direction du service de coopération
et d'action culturelle. Sous l'autorité directe de l'ambassadeur,
il définit les orientations du poste en matière de coopération technique,
scientifique, linguistique et d'action culturelle, propose la programmation
annuelle des actions, suit la mise en œuvre des projets et organise
leur évaluation.
Il serait souhaitable qu’au-delà d'une expérience d’encadrement,
le candidat ait un minimum de connaissances acquises dans les secteurs
qui constituent les priorités de notre intervention aux Seychelles
: éducation et francophonie, environnement (sauvegarde et positionnement
au sein des politiques économiques de pays), pêche et milieu marin.
Il serait également utile qu’il soit familier des mécanismes financiers
de notre coopération et des intervenants multilatéraux (U.E., Agences
des N.U., AIF, etc.). Une bonne pratique de l’anglais est souhaitable.
A026 TANZANIE (Dar-Es-Salam)
Chef du service de coopération et d'action culturelle, le conseiller
s’attache plus particulièrement au suivi et à l’évaluation des projets,
principalement dans les secteurs de l’agriculture, de l’eau et de
l’assainissement, de la santé, de l’aviation civile, du tourisme,
du développement local et de la culture et devra définir les nouvelles
orientations de la coopération française dans le cadre du prochain
document stratégique pays. Il sera également chargé de la mise en
œuvre, du suivi et de l’évaluation des projets et programmes de
coopération régionale, en coordination avec le secrétariat général
de l’EAC et les postes de Nairobi et de Kampala. Il devra développer
le partenariat avec les collectivités territoriales françaises (la
Réunion tout particulièrement) et les autres bailleurs de fonds
(la coopération japonaise notamment). Le conseiller de coopération
et d'action culturelle a également la tutelle de l’école française
de Dar Es Salaam et de deux Alliances françaises (Dar Es Salaam
et Arusha).
Cadre A de la fonction publique ou équivalent, de préférence avec
une formation d’économiste, le candidat devra posséder une expérience
confirmée de la coopération au développement, une parfaite connaissance
de l’anglais ainsi qu’un solide sens pour le travail en équipe.
A027 TCHAD (N'Djamena)
Le conseiller de coopération et d'action culturelle définit
et met en oeuvre, sous l'autorité de l'ambassadeur, les grandes
orientations de la politique de coopération. Il veille au bon déroulement
des projets du titre VI (FSP et FSD) et de ceux de la programmation
sur titre IV.
Par délégation de l’ambassadeur, le conseiller de coopération et
d'action culturelle a autorité sur tous les agents du service de
coopération et d'action culturelle, les assistants techniques, les
personnels du lycée français et du centre culturel, dont il supervise
les activités.
Ce poste requiert une bonne connaissance des procédures de la DGCID,
des mécanismes de coopérations propres au titre VI (FSP/FSD) et
s’adresse à un agent ayant une forte appétence pour les problématiques
du développement et possédant des qualités de gestionnaire, une
bonne capacité relationnelle et d'animation.
A028 TURKMENISTAN (Ashkhabad)
Le conseiller de coopération et d'action culturelle, sous l'autorité
et par délégation de l'ambassadeur anime, coordonne et dirige les
activités du service de coopération et d'action culturelle. Il a
en charge la conception de projets de coopération culturelle, scientifique,
technique, linguistique et artistique; l’élaboration de la programmation
de ces projets; la mise en œuvre avec les partenaires locaux des
actions approuvées et la gestion des crédits alloués; la direction
et l’animation du centre de ressources; l’étude et l’élaboration
de projets d’envergure qui nécessitent des fonds extérieurs aux
crédits d’intervention; le développement des contacts avec les missions
diplomatiques étrangères (notamment les pays membres de l’Union
européenne); la recherche de partenariats et de financements susceptibles
de venir en appui aux actions du service (sociétés françaises présentes
dans le pays) et le suivi des projets TACIS impliquant directement
des structures françaises.
Personne de dialogue et à l’écoute d’autres cultures, le candidat
devra faire preuve de qualités d’organisation, de disponibilité,
de persévérance et d’adaptabilité. Il devra en outre avoir une très
bonne maîtrise du russe, du turc, si possible, de l’informatique
et une bonne connaissance du fonctionnement des différentes structures
du ministère des Affaires étrangères, de la coopération et de la
francophonie. Une expérience dans le multilatéral en CEI serait
un atout supplémentaire.