Collaborateur direct de l'ambassadeur, il assure la direction et la coordination de l'ensemble des services et établissements culturels et de recherche placés sous son autorité, définit et répartit les moyens nécessaires à la conduite de leurs actions respectives, assure par délégation de l'agence pour l'enseignement français à l'étranger (AEFE) la tutelle des établissements d'enseignement, négocie avec ses partenaires locaux les grandes orientations de la politique de coopération culturelle, audiovisuelle, linguistique, universitaire, scientifique et technique. Il a une bonne connaissance des systèmes français d'enseignement et de recherche. Il est, notamment, le correspondant de l'agence EduFrance. Il assure également une veille scientifique et technologique, en liaison avec les milieux scientifiques, et éventuellement industriels, concernés. Dans les pays de la zone de solidarité prioritaire, il est le maître d'oeuvre d'une coopération technique qui repose sur la maîtrise des procédures de l'assistance technique et de la gestion de projets FSP (fonds de solidarité prioritaire), des mécanismes de financements internationaux et de la problématique de l'aide publique au développement.
Pour ces candidats, cadre A de la fonction publique ou équivalent, la maîtrise parfaite de l’anglais est nécessaire.
Les candidatures à ces postes sont examinées par une commission spécialisée.
NOTE : Le COCAC peut exercer simultanément les fonctions de directeur de l'établissement culturel (institut français, centre culturel, centre culturel et de coopération, etc.); la mention figure sur la fiche descriptive du poste.
Collaborateur direct de l'ambassadeur, il assure la direction et la coordination de l'ensemble des services et établissements culturels placés sous son autorité, définit et répartit les moyens nécessaires à la conduite de leurs actions respectives. Il est le correspondant de l'agence EduFrance, assure par délégation de l'agence pour l'enseignement français à l'étranger (AEFE) la tutelle des établissements d'enseignement, négocie avec ses partenaires locaux les grandes orientations de la politique de coopération culturelle, audiovisuelle, linguistique et universitaire.
Pour ces candidats, cadre A de la fonction publique ou équivalent, la maîtrise parfaite de l’anglais est nécessaire.
Les candidatures à ces postes sont examinées par une commission spécialisée.
Le conseiller régional de coopération, dont la zone de compétence s’étend à plusieurs pays, initie, coordonne et suit la politique de coopération déterminée en concertation avec le Département. Il apporte aux SCAC une expertise pour la conception et le suivi des actions du ou des domaines dont il a la charge, en recherchant la cohérence de celles-ci avec les priorités du Département, la logique d’intervention dans les pays et en coordination avec les autres bailleurs de fonds.
Les candidats doivent être des professionnel du ou des secteurs d’activité concernés et posséder une expérience reconnue dans ce ou ces secteurs.
Sous l’autorité du conseiller de coopération et d’action culturelle ou du conseiller culturel, le conseiller culturel adjoint est appelé à gérer des moyens importants à la tête d’une équipe d’attachés spécialisés (culturel, éducatif, linguistique, universitaire). Il possède des qualités d’administrateur et d’animateur soucieux des synergies entre les différents réseaux : établissements de recherche, culturels et scolaires. Dans les pays de la zone de solidarité prioritaire, il est le maître d'oeuvre d'une coopération technique qui repose sur la maîtrise des procédures de l'assistance technique et de la gestion de projets FSP (fonds de solidarité prioritaire), des mécanismes de financements internationaux et de la problématique de l'aide publique au développement.
Pour ces candidats, cadre A de la fonction publique ou équivalent, la maîtrise parfaite de l’anglais est nécessaire.
Les candidatures à ces postes sont examinées par une commission spécialisée.
Conseiller de coopération et d’action culturelle
Le Conseiller de coopération et d’action culturelle est placé sous l’autorité directe de l’Ambassadeur. Le Chef du Service de Coopération et d’Action culturelle, définit, sous l’autorité de l’Ambassadeur, la politique bilatérale de coopération et la politique culturelle entre la France et le pays où il est affecté. Il gère les crédits correspondants pour lesquels il est ordonnateur secondaire délégué de l’État. Le SCAC gère un projet de fonds social de développement sur l’aide post-conflit et prépare un important projet de coopération universitaire et un autre d’appui à l’administration angolaise et à la gouvernance. Au titre de sa programmation de moyens annuels d’intervention, le SCAC met en oeuvre environ 150 bourses d’études et de stage au profit d’étudiants ou de fonctionnaires angolais. Il propose environ une quarantaine de missions d’expertise d’appui à ces ministères et autant d’invitations en France de hauts fonctionnaires de ces ministères. Le SCAC développe des activités dans les domaines de la création cinématographique et audiovisuelle, du livre et de l’édition, de l’appui à la langue française, de l’astronomie, de l’archéologie, du patrimoine. Le SCAC s’appuie aussi sur un réseau de 4 alliances dont il finance les missions essentielles d’enseignement du français langue étrangère (2 500 étudiants chaque année) et de mise en oeuvre des activités culturelles de l’Ambassade (une dizaine de concerts de musique, des activités théâtrales, de danse, des expositions, des conférences, festival de cinéma et du documentaire, et spectacles liés à la semaine de la francophonie...). Le Conseiller de coopération et d’action culturelle représente l’État dans les différents organismes d’administration du Lycée français (Assemblée générale des parents d’élèves, Conseil d’administration, conseil d’Établissement, conseil de gestion, comités paritaires, de recrutement). Le SCAC participe aux réunions de coordination de l’aide des institutions multilatérales, aux revues stratégiques et de projets de ces bailleurs de fonds et accompagne la coopération mise en oeuvre par ces institutions au travers de ses moyens propres (missions d’experts, assistance technique française pour la conduite de projets de la Banque mondiale et du FED...).
126A002 : AUSTRALIE (CANBERRA)
Conseiller de coopération et d’action culturelle
Sous l’autorité de l’Ambassadeur, le COCAC définit, coordonne, gère et évalue la politique de coopération du poste en Australie dans les secteurs audiovisuel, culturel, linguistique, éducatif et scientifique. Il est en relation avec les autorités fédérales et les partenaires institutionnels australiens de l’Ambassade dans tous ces secteurs. Il anime le réseau et développe les synergies entre le SCAC, les Alliances françaises et les établissements scolaires français. Il participe aux conseils d’administration et d’établissement des établissements scolaires français. Il travaille en étroite collaboration avec les pays de la région, tout particulièrement les départements et territoires français du Pacifique et de l’Océan Indien. Cet agent doit impérativement posséder une parfaite maîtrise de l’anglais (oral et écrit) et avoir, en français, une haute qualité d’écriture. Il doit avoir une excellente culture générale, une connaissance approfondie des réseaux culturels et de coopération français et une expérience avérée de la gestion administrative, financière et du personnel. Le sens du travail en équipe, du contact et de la négociation, la disponibilité et la flexibilité constituent les qualités humaines et professionnelles indispensables à la réussite de sa mission.
Conseiller de coopération et d’action culturelle
Mouvement Janvier 2006
Le Conseiller de coopération et d’action culturelle est chargé, sous la conduite de l’Ambassadeur, de la gestion du Service de Coopération et d’Action culturelle, de l’identification des besoins de coopération, de la conception des projets et de la mise en oeuvre des coopérations dans différents domaines : enseignement du français, universitaire, scientifique, technique, institutionnel, audiovisuel, socio-économique, développement durable, culturel et artistique. Actuellement les projets de coopération technique mis en oeuvre sont : appui à la Justice, appui à l’Académie d’Administration publique, gestion des crises civiles, modernisation de l’enseignement du français en Azerbaïdjan, appui au Département vétérinaire du ministère de l’Agriculture et rénovation de la filière arboricole. Des coopérations sont prévues dans les domaines de la santé et de la reforestation. Le Conseiller est en outre chargé de la direction du Centre culturel français de Bakou, créé en 2003. À ce titre il est responsable du fonctionnement de cet établissement à autonomie financière qui a pour missions principales : l’enseignement de la langue française, le partenariat culturel et artistique, la promotion des principaux courants de la création française contemporaine. Le Conseiller de coopération et d’action culturelle dirige un service comportant un Attaché (agent détaché), deux collaborateurs azerbaïdjanais (suivi de dossiers et interprétariat) et une secrétaire à mi-temps. Le Conseiller doit avoir une bonne connaissance de l’administration des Affaires étrangères et une expérience réussie dans le réseau culturel. La connaissance, outre l’anglais, du turc et/ou du russe est extrêmement souhaitable.
Conseiller de coopération et d’action culturelle
Le Conseiller de coopération et d’action culturelle dirige et anime au sein de l’Ambassade une équipe de dix agents chargée de la coopération entre la France et le Bénin. Il prépare, sous l’autorité de l’Ambassadeur, la stratégie de coopération avec le pays, conformément aux instructions du ministère des Affaires étrangères. Il supervise la mise en oeuvre du programme de coopération avec le Bénin, qu’il s’agisse des crédits annuels d’intervention ou des crédits d’investissement du Fonds de Solidarité Prioritaire et gère les ressources humaines affectées dans le pays, en particulier l’assistance technique. Il coordonne le travail du SCAC, est en relation constante avec les autres bailleurs de fonds présents au Bénin avec lesquels il travaille à la coordination et à l’harmonisation de l’aide. Il doit donc connaître les procédures et l’évolution de la coopération française, ainsi que les réflexions sur l’aide publique au développement qui se développent dans les instances internationales ; il doit avoir une bonne connaissance des interventions et procédures des autres partenaires au développement, au premier rang desquels la Commission européenne et les pays membres de l’Union européenne. Il doit posséder des qualités relationnelles, d’encadrement d’une équipe ainsi qu’une bonne capacité de travail.
Conseiller de coopération et d’action culturelle
Collaborateur direct de l’ambassadeur, il assure la direction et la coordination de l’ensemble des services et établissements culturels et de recherche placés sous son autorité, définit et répartit les moyens nécessaires à la conduite de leurs actions respectives, assure par délégation de l’agence pour l’enseignement français à l’étranger (A.E.F.E) la tutelle des établissements d’enseignement, négocie avec ses partenaires locaux les grandes orientations de la politique de coopération culturelle, audiovisuelle, linguistique, universitaire, scientifique et technique. Il a une bonne connaissance des systèmes français d’enseignement et de recherche. Il est, notamment, le correspondant de l’agence EduFrance. Il assure également une veille scientifique et technologique, en liaison avec les milieux scientifiques, et éventuellement industriels, concernés. Dans les pays de la zone de solidarité prioritaire, il est le maître d’oeuvre d’une coopération technique qui repose sur la maîtrise des procédures de l’assistance technique et de la gestion de projets FSP (fonds de solidarité prioritaire), des mécanismes de financements internationaux et de la problématique de l’aide publique au développement. Pour ces candidats, cadre A de la fonction publique ou équivalent, la maîtrise parfaite de l’anglais est nécessaire. Les candidatures à ces postes sont examinées par une commission spécialisée.
126A006 : CAMBODGE (PHNOM PENH)
Conseiller de coopération et d’action culturelle
Il assure la coordination du Service de coopération et d’action culturelle. Sous le contrôle de l’Ambassadeur, il est chargé de la définition de la stratégie et de la programmation de l’aide française. Il assure les relations avec les autorités et les partenaires du développement dans les domaines de la coopération scientifique et culturelle et de la francophonie. Les projets FSP placés sous sa responsabilité concernent les domaines suivants : L’animation de filières universitaires francophones dans le domaine de la santé, des sciences de l’Ingénieur, du droit et de l’économie, de l’enseignement du français. La formation aux métiers du patrimoine, de la culture et de l’archéologie. La conservation du patrimoine archéologique et urbain. Son service assure également un rôle de veille dans le domaine de la recherche médicale et du suivi épidémiologique. Il aura à suivre les activités de deux structures importantes de recherche : l’École française d’Extrême-Orient et l’Institut Pasteur. Il concourt au suivi des chantiers portant sur l’harmonisation de l’aide et participe à la coordination de l’aide publique dans les secteurs qui sont de la compétence du SCAC en liaison avec l’AFD et la Mission Économique. Il est chargé de la tutelle du CCF et du Lycée Descartes.
Conseiller culturel
Le conseiller culturel est le chef du service culturel. Il élabore et met en oeuvre la politique culturelle dans le cadre des orientations fixées par l’ambassadeur. Il est le représentant académique pour les établissements scolaires homologués ou conventionnés avec l’Agence pour l’Enseignement français à l’Étranger. Il coordonne l’action des attachés culturels placés auprès des Consulats de Vancouver, Toronto et Moncton et assure l’articulation avec le réseau des Alliances françaises.
Conseiller de coopération et d’action culturelle
Mouvement décembre 2006
Responsable du Service de coopération et d’action culturelle, le Conseiller définit et met en oeuvre la coopération culturelle, universitaire, scientifique et institutionnelle. Il assure également la tutelle des établissements scolaires relevant de l’A.E.F.E. L’agent appelé à occuper cette fonction disposera d’une expérience similaire acquise dans un autre poste, notamment dans l’animation d’une équipe. Grandes qualités relationnelles requises tant à l’interne qu’avec les partenaires étrangers.
126A009 : CENTRAFRICAINE (REP.) (BANGUI)
Conseiller régional de coopération
Le conseiller de coopération régionale est chargé de représenter la Coopération française auprès du Secrétariat Exécutif de la Communauté Économique et Monétaire de l’Afrique Centrale (CEMAC). Il est en relation avec l’ensemble du dispositif de la coopération française de la sous-région : SCAC et AT (des secteurs économique et financier). Il veille à accroître la synergie avec les bailleurs de fonds multilatéraux (UE et IBW). Il appuie le renforcement de la convergence des politiques économiques des États, notamment dans le domaine des finances publiques, favorise la mise en place de politiques sectorielles régionales (transport, environnement, formation, etc.) et incite à la cohérence des projets bilatéraux français avec les objectifs régionaux. Il aide la CEMAC dans la consolidation et l’approfondissement de l’intégration (harmonisation et stabilisation de l’environnement juridique et fiscal) en cohérence avec les autres processus régionaux en cours et à caractère thématique (OHADA, CIPRES, CIMA, AFRISTAT, etc.). Il est chargé notamment de la mise en oeuvre de la composante CEMAC du projet FSP "Appui aux processus d’intégration régionaux africains". Cadre A d’expérience, rompu aux techniques économiques et financières ayant une bonne connaissance des processus d’intégration régionale, possédant une solide expérience professionnelle et la connaissance des procédures de mise en oeuvre du FSP. Une bonne pratique du traitement de texte et du tableur est indispensable.
Le conseiller régional est rattaché administrativement au SCAC de Bangui (siège de la CEMAC). Il est conduit à effectuer des déplacements dans les États de la sous-région pour suivre la mise en place des réformes. Le conseiller régional a pour mission de :
suivre et accompagner le processus d'intégration régionale de la CEMAC dans tous ses aspects multilatéraux (approfondissement de la convergence économique et financière, mise en place d'un cadre juridique harmonisé, aide à la création d'un cadre incitatif pour les investissements…) ;
suivre la mise en œuvre, par les États, des réformes adoptées par la CEMAC dans le respect du principe de subsidiarité ;
veiller et contribuer à la synergie des actions conduites par la France et les autres bailleurs, en particulier l'UE, dans les différents projets et programmes bilatéraux avec ceux développés par la CEMAC ou en cours d'élaboration ;
encourager la convergence avec les autres processus régionaux africains, et tout particulièrement aider au resserrement des liens entre l'UEMOA et la CEMAC ;
suivre les négociations en cours de l'Accord de Partenariat économique entre l'UE et les États de la CEMAC et São Tomé.
Conseiller de coopération et d’action culturelle
Responsable de la Délégation régionale de coopération, le Conseiller a pour mission d’identifier les domaines prioritaires de coopération, de promouvoir l’offre française au sein de réseaux, de rechercher des financements extérieurs qu’ils soient communautaires ou multilatéraux, d’accompagner des programmes d’intégration à l’échelle du sous-continent et de mettre en cohérence les orientations des coopérations bilatérales et régionale ; il organise et fait circuler l’information entre les différents partenaires tant du côté français que du côté des pays bénéficiaires. Il est aussi responsable de la coopération française avec la Commission économique des Nations unies pour l’Amérique latine et les Caraïbes. Profil classique de conseiller de coopération (coopération scientifique et technique prédominante), le candidat aura une aptitude à la concertation et à la coordination. Une solide expérience du fonctionnement de la coopération et des postes diplomatiques est indispensable. Une connaissance préalable des pays de la zone constitue un atout dans la mesure où il convient d’y entretenir des contacts sans y résider.
Conseiller culturel
Ce profil sera publié ultérieurement
Conseiller de coopération et d’action culturelle
Sous l’autorité de l’Ambassadeur et en concertation avec l’AFD, le titulaire du poste participe à la définition du cadre (DCP) et au pilotage stratégique de l’APD française au Congo. Il prépare la programmation annuelle des moyens et des opérations menées par la coopération française au Congo. Il est responsable de la mise en oeuvre, du suivi et de l’évaluation interne des projets financés sur les divers instruments financiers de l’aide française (FSP, FSD, titres IV, aide budgétaire...). À ce titre, il est en charge de la coordination du portefeuille des opérations ainsi que de l’action de l’assistance technique, encadre une équipe d’attachés de coopération d’assistants techniques et d’agents administratifs et conduit le dialogue avec les autorités locales, les autres bailleurs de fonds, les opérateurs économiques et la société civile pour les différentes phases de mise en oeuvre de l’aide française. Correspondant humanitaire et correspondant environnement du poste, il prépare et met en oeuvre des actions d’urgence et participe à l’élaboration du programme de facilitation française du partenariat pour les forêts du bassin du Congo. Enfin, il contrôle l’activité de nos centres culturels et de nos établissements français d’enseignement. Les responsabilités et fonctions confiées au titulaire sont celles d’un agent de catégorie « A ». Leurs exercices nécessitent expérience en matière de développement, rigueur et polyvalence, un fort esprit de synthèse et une grande disponibilité. La maîtrise de la bureautique (au minimum Word et Excel) est nécessaire. Aucune compétence linguistique n’est requise, le pays étant francophone même s’il est parfois nécessaire de lire de la documentation en anglais.
126A013 : CONGO (RDC) (KINSHASA)
Conseiller de coopération et d’action culturelle
La RDC est un pays en sortie de crise : son économie, ses capacités de gestion publique sont en grande partie ruinées. Nos priorités de coopération sont la gouvernance, le retour à l’état de droit, et la lutte contre la pauvreté. Sous l’autorité de l’Ambassadeur, le COCAC est chef du service de coopération, en charge de la conception et de la mise en oeuvre de notre politique de coopération au développement et d’action culturelle en relation avec les services centraux du MAE. Ce poste nécessite une connaissance affirmée de la politique et du dispositif de coopération du MAE, ainsi que de ceux de l’Union Européenne, des Institutions Financières Internationales et des autres bailleurs de fonds multilatéraux. Il requiert de bonnes capacités d’organisation, de relation et de communication. La maîtrise des procédures et des instruments de notre coopération, de l’aide-projet notamment, ainsi que la connaissance approfondie des procédures réglementaires de gestion de crédits et d’achats publics sont indispensables. Une forte compétence en matière d’analyse et de synthèse, et de bonnes aptitudes à la rédaction sont indispensables. La pratique de l’anglais est nécessaire.
Conseiller de coopération et d’action culturelle
Sous l’autorité directe de l’Ambassadeur, à la tête d’un service de 20 personnes, le Conseiller de coopération et d’action culturelle est responsable des actions menées au titre de la coopération bilatérale (41 assistants techniques, 4 projets FSP, 200 bourses soit un budget global de l’ordre de 9 000 000 euros en 2005). Il supervise également les établissements sous tutelle : le Centre culturel Arthur Rimbaud, l’Alliance franco-djiboutienne, le Lycée Kessel et l’école Dolto, et de façon indirecte l’école de la Nativité. La programmation et le suivi des actions impliquent une étroite collaboration avec les autorités djiboutiennes, les autres partenaires bi et multilatéraux, l’assistance technique et les syndicats. Le COCAC est étroitement impliqué dans la préparation du DCP (document cadre de partenariat) et la coordination inter-bailleurs.
126A015 : ÉTHIOPIE (ADDIS-ABEBA)
Conseiller de coopération et d’action culturelle
Conception et mise en oeuvre de l’action culturelle et de coopération ; gestion et animation de l’équipe du SCAC ; tutelle des établissements culturels (Alliances françaises), d’enseignement (Lycée Guebre Mariam) et de recherche (Centre français des Études Éthiopiennes) ; relations avec la communauté des donateurs et avec l’AFD ; suivi des questions de développement dans les organisations internationales présentes à Addis-Abeba (Union Africaine et Commission Économique pour l’Afrique).
Conseiller de coopération et d’action culturelle
Collaborateur direct de l’ambassadeur, il assure la direction et la coordination de l’ensemble des services et établissements culturels et de recherche placés sous son autorité, définit et répartit les moyens nécessaires à la conduite de leurs actions respectives, assure par délégation de l’agence pour l’enseignement français à l’étranger (A.E.F.E) la tutelle des établissements d’enseignement, négocie avec ses partenaires locaux les grandes orientations de la politique de coopération culturelle, audiovisuelle, linguistique, universitaire, scientifique et technique. Il a une bonne connaissance des systèmes français d’enseignement et de recherche. Il est, notamment, le correspondant de l’agence EduFrance. Il assure également une veille scientifique et technologique, en liaison avec les milieux scientifiques, et éventuellement industriels, concernés. Dans les pays de la zone de solidarité prioritaire, il est le maître d’œuvre d’une coopération technique qui repose sur la maîtrise des procédures de l’assistance technique et de la gestion de projets FSP (fonds de solidarité prioritaire), des mécanismes de financements internationaux et de la problématique de l’aide publique au développement. Pour ces candidats, cadre A de la fonction publique ou équivalent, la maîtrise parfaite de l’anglais est nécessaire. Les candidatures à ces postes sont examinées par une commission spécialisée.
Conseiller de coopération et d’action culturelle
Le COCAC est responsable de la conception et de la mise en oeuvre de la programmation des actions de coopération bilatérale dans les domaines technique, scientifique, universitaire, éducatif et linguistique. Il gère de surcroît la politique culturelle, artistique et audiovisuelle du poste en assurant la tutelle du Centre Culturel Français Alexandre Dumas de Tbilissi. Il prend également une part active aux projets de coopération décentralisée et multilatérale. Sa mission de manière générale a pour but de contribuer au développement de la Géorgie par la valorisation de l’excellence de l’expertise française. Chef du SCAC, il coordonne, en étroite relation avec l’Ambassadeur, une équipe de cinq collaborateurs (1 V.I. et 4 recrutés locaux), auxquels il confie la réalisation des actions réparties par secteurs. Rompu aux techniques de rédaction ministérielle (projets, TD etc.), il maîtrise également les méthodes de communication nécessaires à la promotion des actions. Enfin il tisse aisément un réseau relationnel de qualité auprès de ses interlocuteurs, et assume fréquemment, dans le cadre de sa mission, des fonctions de représentation.
Bonne connaissance du réseau culturel à l’étranger et des stratégies de coopération internationale, y compris multilatérale. Pratique courante du russe souhaitable.
Conseiller de coopération et d’action culturelle
Sous l’autorité de l’ambassadeur, le COCAC, chef du SCAC, a la responsabilité de la conception et de la mise en oeuvre de la politique française de coopération au développement en Guinée et en Sierra Leone. Il propose à l’ambassadeur les orientations de la politique de coopération menée par le poste, assure le contact avec les autorités locales compétentes, constitue l’interlocuteur central de la DGCID et assure, en liaison avec l’agence locale de l’AFD, la coordination avec les bailleurs de fonds bilatéraux et multilatéraux (notamment la Banque mondiale et la Commission Européenne), qui sont en nombre limité. Il anime et coordonne l’équipe constituée du SCAC (conseiller adjoint, 2 attachés de coopération, 4 cadres C) et des ATD (35 postes à fin 2005), chargée de la préparation et de la mise en oeuvre des actions de coopération dans les domaines économiques, techniques et culturels. Le SCAC assure la tutelle du Lycée français de Conakry (750 élèves), du Centre Culturel Franco-Guinéen (2 cadres A et 1 V.I.) et du centre médico-social (1 médecin-chef et 1 V.I.). Il assure également le suivi, avec l’AFVP, d’une cellule d’appui aux ONG guinéennes et françaises. Le COCAC a délégation de signature pour la gestion des titres IV et V.I. (la comptabilité est traitée par le SAF). Le poste suppose une expérience africaine préalable, ainsi qu’une bonne connaissance des procédures de l’aide publique au développement en général et de l’aide française en particulier. Des qualités relationnelles et une expérience en matière d’encadrement de personnel sont de bons atouts pour ce poste.
Conseiller de coopération et d’action culturelle
Sous l’autorité de l’Ambassadeur, le Conseiller de coopération et d’action culturelle est responsable de la conception et de la mise en oeuvre de la coopération culturelle française en Inde. Il est assisté d’un conseiller culturel adjoint, qui cumule cette fonction avec celle de Délégué Général de l’Alliance française de Paris en Inde et au Népal. Il anime une équipe de 5 attachés attaché culturel, attaché audiovisuel, attaché pour le français, attaché linguistique, attaché pour la coopération universitaire. Il supervise également le fonctionnement d’un établissement culturel /centre de ressources (CEDUST), d’un réseau de 15 alliances françaises, et des 3 établissements scolaires de l’A.E.F.E. en Inde (Lycée de Pondichéry, École française de Delhi, École Internationale de Bombay(conventionnée)). Le candidat doit disposer d’une expérience confirmée de responsabilités analogues dans le réseau culturel, et parler anglais couramment. Il assure avec le Conseiller Scientifique (à compter du 1er septembre 2005) la cotutelle des deux centres de recherche du MAE en Inde : le CSH de New-Delhi, et l’IFP de Pondichéry.
Conseiller de coopération et d’action culturelle
Le Conseiller de coopération et d’action culturelle est chargé, sous la responsabilité du Chef de Poste, de définir et mettre en oeuvre la politique de coopération et d’action culturelle dans les Territoires palestiniens. À ce titre, il anime et coordonne une équipe composée de quatre attaché(e)s en charge des quatre principaux secteurs de coopération : culturelle, universitaire et administrative, éducative et linguistique, humanitaire et développement social. Deux V.I. interviennent respectivement dans le secteur des médias et de la recherche universitaire. Cette équipe comprendra en outre, à partir de septembre 2005, un assistant technique pour le FSP « appui au développement d’une faculté de droit et d’administration publique à l’université de Bir Zeit » et un assistant technique coopération institutionnelle. Le réseau culturel rattaché au SCAC comprend deux établissements à autonomie financière : l’un à Jérusalem Ouest (Romain Gary) et l’autre, dirigé par l’Attaché culturel, Directeur de l’EAF, regroupant Jérusalem-est, Ramallah (Centre franco-allemand), Naplouse et Gaza ; chacun de ces centres ayant un directeur chargé de mission. Enfin, il est ordonnateur secondaire d’un budget important sur crédits de Titre IV et de Titre VI. Sur ces questions administratives et financières, il est assisté d’un Secrétaire général.
Conseiller de coopération et d’action culturelle
Collaborateur direct de l’ambassadeur, il assure la direction et la coordination de l’ensemble des services et établissements culturels et de recherche placés sous son autorité, définit et répartit les moyens nécessaires à la conduite de leurs actions respectives, assure par délégation de l’agence pour l’enseignement français à l’étranger (A.E.F.E) la tutelle des établissements d’enseignement, négocie avec ses partenaires locaux les grandes orientations de la politique de coopération culturelle, audiovisuelle, linguistique, universitaire, scientifique et technique. Il a une bonne connaissance des systèmes français d’enseignement et de recherche. Il est, notamment, le correspondant de l’agence EduFrance. Il assure également une veille scientifique et technologique, en liaison avec les milieux scientifiques, et éventuellement industriels, concernés. Dans les pays de la zone de solidarité prioritaire, il est le maître d’œuvre d’une coopération technique qui repose sur la maîtrise des procédures de l’assistance technique et de la gestion de projets FSP (fonds de solidarité prioritaire), des mécanismes de financements internationaux et de la problématique de l’aide publique au développement. Pour ces candidats, cadre A de la fonction publique ou équivalent, la maîtrise parfaite de l’anglais est nécessaire. Les candidatures à ces postes sont examinées par une commission spécialisée.
Conseiller de coopération et d’action culturelle
Sous la responsabilité de l’ambassadeur, le conseiller de coopération et l’action culturelle dirige, gère et anime le Service de coopération et d’action culturelle de l’Ambassade. Il participe, dans ses domaines de compétences, à la définition de la stratégie d’intervention du poste (analyses et synthèses, propositions), à l’identification des moyens nécessaires pour la mettre en oeuvre (programmation titre III, titre IV et assistance technique, projets FSP sur titre VI), à la mise en oeuvre de ces moyens (suivi de l’ensemble des instruments, contacts avec les services nationaux, du Département et régionaux, les opérateurs et les autres donateurs), au suivi et au bilan de ces opérations dont il rend compte. Ses domaines de compétence sont ceux de la Direction générale de la coopération internationale et du développement (DGCID) dont le SCAC est le service extérieur, tels qu’ils ressortent des textes en vigueur (décrets et arrêtés, décisions du CICID). Les compétences nécessaires à l’exercice de cette fonction sont : une bonne connaissance de notre politique en matière de coopération internationale, d’aide au développement et de coopération culturelle, une bonne connaissance des outils de gestion des moyens d’intervention mis en oeuvre dans la ZSP.
Conseiller de coopération et d’action culturelle
Sous l’autorité de l’Ambassadeur, conception, mise en oeuvre et suivi de la coopération culturelle, scientifique, technique, universitaire, pédagogique et linguistique franco-libanaise. Suivi des établissements conventionnés et homologués. Responsable de la Mission culturelle et de ses neuf centres. Une bonne expérience de la coopération est préférable. La dimension humaine, alliée à une autorité de bon aloi, est essentielle dans les rapports tant avec les autorités que pour gérer l’importante équipe du SCAC et de la Mission Culturelle. La maîtrise de la langue arabe n’est aucunement une contrainte. Une grande disponibilité personnelle est indispensable.
Conseiller de coopération et d’action culturelle
Le Conseiller de coopération et d’action culturelle, agit sous l’autorité directe de l’Ambassadeur. Il est à la tête d’un service de coopération composé d’un attaché de coopération scientifique et technique et d’une assistante. Il a aussi sous sa responsabilité directe la gestion de trois assistants techniques qui agissent dans le domaine universitaire. En tant que directeur du Centre culturel et de coopération linguistique, il est assisté d’un attaché de coopération linguistique et d’un Secrétaire général. Le conseiller doit posséder une bonne connaissance du système administratif français. Une formation juridique est souhaitée car l’une des priorités du poste est la mise en place d’actions de coopération visant à renforcer l’État de droit en Macédoine : la coopération institutionnelle (administrative et judiciaire) est donc stratégique. Le Conseiller de coopération et d’action culturelle doit aussi porter un intérêt aux problématiques culturelles, universitaires, linguistiques, scientifiques et audiovisuelles. Le Conseiller de coopération et d’action culturelle, à la tête d’une équipe d’une vingtaine de collaborateurs venant d’horizons les plus divers (lecteurs, enseignants, assistants techniques...) doit avoir le goût du management d’équipe. Il doit aussi avoir une appétence pour la négociation dans un contexte local ou le succès des actions de coopération demande le plus souvent une grande persévérance, un certain sens politique et du pragmatisme. Il doit enfin avoir une bonne maîtrise de l’anglais.
126A025 : MADAGASCAR (TANANARIVE)
Conseiller de coopération et d’action culturelle
Collaborateur direct de l’ambassadeur, il assure la direction et la coordination de l’ensemble des services et établissements culturels et de recherche placés sous son autorité, définit et répartit les moyens nécessaires à la conduite de leurs actions respectives, assure par délégation de l’agence pour l’enseignement français à l’étranger (A.E.F.E) la tutelle des établissements d’enseignement, négocie avec ses partenaires locaux les grandes orientations de la politique de coopération culturelle, audiovisuelle, linguistique, universitaire, scientifique et technique. Il a une bonne connaissance des systèmes français d’enseignement et de recherche. Il est, notamment, le correspondant de l’agence EduFrance. Il assure également une veille scientifique et technologique, en liaison avec les milieux scientifiques, et éventuellement industriels, concernés. Dans les pays de la zone de solidarité prioritaire, il est le maître d’oeuvre d’une coopération technique qui repose sur la maîtrise des procédures de l’assistance technique et de la gestion de projets FSP (fonds de solidarité prioritaire), des mécanismes de financements internationaux et de la problématique de l’aide publique au développement. Pour ces candidats, cadre A de la fonction publique ou équivalent, la maîtrise parfaite de l’anglais est nécessaire. Les candidatures à ces postes sont examinées par une commission spécialisée.
126A026 : MAURITANIE (NOUAKCHOTT)
Conseiller de coopération et d’action culturelle
En tant que conseiller de l’Ambassadeur et sous son autorité directe, le Conseiller de coopération et d’action culturelle a la responsabilité du suivi de l’ensemble des acteurs français engagés dans une démarche de coopération avec la Mauritanie Agence française de développement, coopérations décentralisées, ONG, partenariats associatifs et institutionnels divers. En tant que chef du service de coopération et d’action culturelle, il assure l’animation d’une équipe de trois cadres du SCAC et du personnel d’appui correspondant, la tutelle du lycée français (650 élèves), du centre culturel français et des quatre alliances franco-mauritaniennes. Outre la participation aux activités de l’Ambassade, il assure plus particulièrement la coordination stratégique avec les principaux partenaires au développement de la Mauritanie et les autorités.
Conseiller de coopération et d’action culturelle
Collaborateur direct de l’ambassadeur, il assure la direction et la coordination de l’ensemble des services et établissements culturels et de recherche placés sous son autorité, définit et répartit les moyens nécessaires à la conduite de leurs actions respectives, assure par délégation de l’agence pour l’enseignement français à l’étranger (A.E.F.E) la tutelle des établissements d’enseignement, négocie avec ses partenaires locaux les grandes orientations de la politique de coopération culturelle, audiovisuelle, linguistique, universitaire, scientifique et technique. Il a une bonne connaissance des systèmes français d’enseignement et de recherche. Il est, notamment, le correspondant de l’agence EduFrance. Il assure également une veille scientifique et technologique, en liaison avec les milieux scientifiques, et éventuellement industriels, concernés. Dans les pays de la zone de solidarité prioritaire, il est le maître d’oeuvre d’une coopération technique qui repose sur la maîtrise des procédures de l’assistance technique et de la gestion de projets FSP (fonds de solidarité prioritaire), des mécanismes de financements internationaux et de la problématique de l’aide publique au développement. Pour ces candidats, cadre A de la fonction publique ou équivalent, la maîtrise parfaite de l’anglais est nécessaire. Les candidatures à ces postes sont examinées par une commission spécialisée.
Conseiller de coopération et d’action culturelle
Collaborateur direct de l’ambassadeur, il assure la direction et la coordination de l’ensemble des services et établissements culturels et de recherche placés sous son autorité, définit et répartit les moyens nécessaires à la conduite de leurs actions respectives, assure par délégation de l’agence pour l’enseignement français à l’étranger (A.E.F.E) la tutelle des établissements d’enseignement, négocie avec ses partenaires locaux les grandes orientations de la politique de coopération culturelle, audiovisuelle, linguistique, universitaire, scientifique et technique. Il a une bonne connaissance des systèmes français d’enseignement et de recherche. Il est, notamment, le correspondant de l’agence EduFrance. Il assure également une veille scientifique et technologique, en liaison avec les milieux scientifiques, et éventuellement industriels, concernés. Dans les pays de la zone de solidarité prioritaire, il est le maître d’oeuvre d’une coopération technique qui repose sur la maîtrise des procédures de l’assistance technique et de la gestion de projets FSP (fonds de solidarité prioritaire), des mécanismes de financements internationaux et de la problématique de l’aide publique au développement. Pour ces candidats, cadre A de la fonction publique ou équivalent, la maîtrise parfaite de l’anglais est nécessaire. Les candidatures à ces postes sont examinées par une commission spécialisée.
Conseiller de coopération et d’action culturelle
Sous l’autorité directe de l’Ambassadeur, le Conseiller de coopération et d’action culturelle définit et repartit les moyens nécessaires à la conduite des projets de coopération institutionnelle (justice), technique (eau, agriculture), médicale, universitaire (bourses et masters francophones), culturelle (festivals), linguistique (formation continue des enseignants) et audiovisuelle (formation de journalistes) dont il assure la coordination, le suivi et l’évaluation. Il est par ailleurs le maître d’oeuvre des relations de son service avec les autorités locales, dans ces différents domaines. Comme directeur de l’Alliance française de Moldavie, il anime une équipe d’une douzaine de personnes et d’une vingtaine d’enseignants et il en assure, en lien avec le comité et le Poste, la gestion administrative, technique et financière. Il suit également le développement des coopérations décentralisées bilatérales et des projets multilatéraux (Oins, Unicef, AUF) ou européens (Tacis). Le candidat devra faire preuve d’adaptabilité, d’une grande disponibilité et d’une bonne connaissance des mécanisme de programmation. Gestionnaire rigoureux et expérimenté, il aura une appétence pour le travail en équipe. La maîtrise du russe ou du roumain serait très utile.
126A033 : OUZBÉKISTAN (TACHKENT)
Conseiller de coopération et d’action culturelle
Collaborateur direct de l’ambassadeur, il assure la direction et la coordination de l’ensemble des services et établissements culturels et de recherche placés sous son autorité, définit et répartit les moyens nécessaires à la conduite de leurs actions respectives, assure par délégation de l’agence pour l’enseignement français à l’étranger (A.E.F.E) la tutelle des établissements d’enseignement, négocie avec ses partenaires locaux les grandes orientations de la politique de coopération culturelle, audiovisuelle, linguistique, universitaire, scientifique et technique. Il a une bonne connaissance des systèmes français d’enseignement et de recherche. Il est, notamment, le correspondant de l’agence EduFrance. Il assure également une veille scientifique et technologique, en liaison avec les milieux scientifiques, et éventuellement industriels, concernés. Dans les pays de la zone de solidarité prioritaire, il est le maître d’oeuvre d’une coopération technique qui repose sur la maîtrise des procédures de l’assistance technique et de la gestion de projets FSP (fonds de solidarité prioritaire), des mécanismes de financements internationaux et de la problématique de l’aide publique au développement. Pour ces candidats, cadre A de la fonction publique ou équivalent, la maîtrise parfaite de l’anglais est nécessaire. Les candidatures à ces postes sont examinées par une commission spécialisée.
126A034 : RÉPUBLIQUE TCHÈQUE (PRAGUE)
Conseiller de coopération et d’action culturelle
Le Conseiller de coopération et d’action culturelle coordonne l’ensemble de la coopération culturelle, universitaire, scientifique et technique bilatérale conduite par le poste dans le cadre d’un plan d’action approuvé par l’Ambassadeur. Il anime et coordonne une équipe composée d’une douzaine de chefs de services, attachés de coopération ou responsables d’établissements (Institut français, Centre de Recherches en Sciences Sociales, Lycée français). Il est responsable de l’ensemble des personnels de la mission culturelle et de coopération. Intégré à l’équipe politique de l’Ambassade, il rend régulièrement compte de la conduite des actions de coopération au chef de poste. Il participe aux réunions de l’Ambassade et oeuvre en synergie avec l’ensemble des services du poste. En contact étroit avec ses collaborateurs, le conseiller élabore les grandes orientations de la coopération du poste qui composent un programme d’action à moyen terme, annuellement soumis au Département sous la forme d’un document de programmation. Il est responsable de la réalisation de la programmation approuvée ainsi que de la bonne gestion budgétaire des services. Il est l’interlocuteur régulier tant des administrations et des institutions tchèques que des représentants de la société civile dans tous les domaines touchant à la coopération bilatérale et européenne. Il suit et rend compte régulièrement au Département de l’évolution de la politique tchèque dans ces mêmes domaines.
Conseiller régional de coopération
Collaborateur direct de l’ambassadeur, il assure la direction et la coordination de l’ensemble des services et établissements culturels et de recherche placés sous son autorité, définit et répartit les moyens nécessaires à la conduite de leurs actions respectives, assure par délégation de l’agence pour l’enseignement français à l’étranger (A.E.F.E) la tutelle des établissements d’enseignement, négocie avec ses partenaires locaux les grandes orientations de la politique de coopération culturelle, audiovisuelle, linguistique, universitaire, scientifique et technique. Il a une bonne connaissance des systèmes français d’enseignement et de recherche. Il est, notamment, le correspondant de l’agence EduFrance. Il assure également une veille scientifique et technologique, en liaison avec les milieux scientifiques, et éventuellement industriels, concernés. Dans les pays de la zone de solidarité prioritaire, il est le maître d’oeuvre d’une coopération technique qui repose sur la maîtrise des procédures de l’assistance technique et de la gestion de projets FSP (fonds de solidarité prioritaire), des mécanismes de financements internationaux et de la problématique de l’aide publique au développement. Pour ces candidats, cadre A de la fonction publique ou équivalent, la maîtrise parfaite de l’anglais est nécessaire. Les candidatures à ces postes sont examinées par une commission spécialisée.
Conseiller de coopération et d’action culturelle
Sous l’autorité directe de l’ambassadeur, le Conseiller de coopération et d’action culturelle définit et met en oeuvre la politique de coopération bilatérale avec Singapour dans les domaines scientifique, universitaire, culturel et linguistique. Il assure la promotion, dans ces secteurs, de l’image de la France à Singapour. Il conduit également des actions de nature régionale dans les domaines audiovisuel et linguistique. Le conseiller de coopération met en oeuvre cette politique en s’appuyant sur une équipe de 12 personnes dont 3 attachés de coopération. Il assure par ailleurs la tutelle du Lycée français de Singapour (110 personnes, 900 élèves) et de l’Alliance française de Singapour (55 personnes) auprès desquels il représente les pouvoirs publics français. Généraliste possédant une expérience des relations internationales, acquise de préférence dans le réseau culturel français à l’étranger, le titulaire possédera un esprit d’analyse et de synthèse lui permettant de définir une politique de coopération cohérente servant au mieux nos intérêts à Singapour. Curieux, ayant le goût du contact et de la représentation, il saura également animer une équipe et assurer la gestion rigoureuse d’un service. La maîtrise de la langue anglaise est indispensable.
126A038 : SLOVAQUIE (BRATISLAVA)
Conseiller de coopération et d’action culturelle
Le COCAC est également directeur de l’Institut français de Bratislava et coordonnateur des 5 alliances françaises en Slovaquie. L’emploi de COCAC s’adresse à un agent expérimenté :
ayant des qualités d’administrateur et de relations publiques
capable d’animer une équipe (77 personnes) et un réseau culturel et éducatif fortement demandeur
connaissant le fonctionnement des établissements scolaires conventionnés avec l’A.E.F.E.
au fait du fonctionnement multilatéral (coopération européenne, OIF, AUF, coopération décentralisée)
intéressé par le secteur audiovisuel et le journalisme.
En sus de l’anglais, la connaissance de l’allemand et d’une langue slave est un plus. L’équipe d’encadrement comprend actuellement 1 attaché de coopération scientifique et universitaire, 2 attachés de coopération pour le français, 1 attaché de coopération technique et européenne (mais dont le poste est supprimé au 01 septembre 2005) et 1 Secrétaire général. L’entité SCAC / IFB comporte à Bratislava - en sus de l’encadrement - 2 V.I., 24 personnels administratifs dont 1 directeur des cours, 10 professeurs de français à temps plein et 20 vacataires slovaques, auxquels il faut ajouter 2 coopérants sur titre IV, 1 directeur d’alliance et 15 lecteurs répartis dans plusieurs établissements d’enseignement secondaire et dans les universités. Par ailleurs, à la rentrée 2005, 5 professeurs des écoles titulaires seront affectés à l’école française de Bratislava.
126A039 : ST-SIÈGE (CITÉ DU VATICAN)
Conseiller culturel
Ce profil sera publié ultérieurement
Conseiller de coopération et d’action culturelle
Sous l’autorité de l’Ambassadeur, le Conseiller de coopération et d’action culturelle (COCAC) dirige le Service de Coopération et d’Action culturelle (SCAC). Il propose à l’Ambassadeur les orientations de la politique de coopération menée par le poste. Contact privilégié des autorités syriennes compétentes, il gère les relations avec les différents partenaires locaux concernés et constitue l’interlocuteur central de la DGCID. Il assure la programmation des moyens d’intervention et de fonctionnement du SCAC et pilote leur mise en oeuvre. Il assure directement le suivi de la coopération multilatérale. Il anime également l’équipe des 5 attachés placés sous son autorité. Il exerce la tutelle sur les établissements relevant de l’autorité du SCAC, en particulier les écoles françaises, l’Institut français du Proche-Orient et le Centre culturel français. Enfin, il est compétent pour toutes les actions de coopération conduites en Syrie. Le SCAC à Damas comprend, outre le COCAC : 5 attachés de coopération (culturelle, scientifique, universitaire, éducative et linguistique), 2 volontaires internationaux, 2 agents contractuels et 4 recrutés locaux. Fonctionnaire de catégorie A, le COCAC doit maîtriser mécanismes, intervenants et procédures de la coopération tant bilatérale que multilatérale. Il doit faire preuve d’une très grand disponibilité, d’un grand sens du dialogue, d’une bonne connaissance de la relation franco-syrienne et du Moyen-Orient ainsi que d’une réelle capacité à animer et souder une équipe soumise à une charge de travail particulièrement lourde. Une expérience préalable dans la conduite des opérations immobilières serait un grand avantage en raison du projet de construction de la nouvelle École française à Damas. La connaissance de l’arabe est un atout indéniable ; à défaut, l’anglais courant est indispensable.
Conseiller de coopération et d’action culturelle
Il s’agit de définir les grandes orientations de notre coopération globale et par secteur (scientifique et universitaire, culturelle et du français, audiovisuelle), d’encadrer et de diriger une équipe de 9 personnes qui constitue le SCAC, auquel il convient de rajouter 1 assistant technique et 1 représentante d’EduFrance, de coordonner les activités de ce service tout au long de la réalisation de la programmation annuelle en suivant avec le Secrétaire général sa déclinaison budgétaire et en donnant les impulsions nécessaires. Représentant l’A.E.F.E, le Conseiller participe aux réunions du comité de gestion, au conseil d’établissement de la section française de l’École Européenne de Taipei. Il participe aux comités des bourses. Le chef du SCAC est en étroite concertation avec les 2 Alliances françaises et avec les Antennes du Centre d’études français sur la Chine contemporaine et de l’école française d’Extrême-Orient pour arrêter notamment des actions conjointes. Il recherche des partenariats publiques et privés. Une bonne connaissance des principaux domaines de coopération entre la France et Taiwan est nécessaire. Une bonne maîtrise de l’anglais et du chinois est indispensable.
126A042 : TRINITE-ET-TOBAGO (PORT D’ESPAGNE)
Conseiller régional de coopération
Collaborateur direct des ambassadeurs, il assure la direction et la coordination de l’ensemble des services et établissements culturels et de recherche placés sous son autorité, définit et répartit les moyens nécessaires à la conduite de leurs actions respectives, assure par délégation de l’agence pour l’enseignement français à l’étranger (A.E.F.E) la tutelle des établissements d’enseignement, négocie avec ses partenaires locaux les grandes orientations de la politique de coopération culturelle, audiovisuelle, linguistique, universitaire, scientifique et technique. Il a une bonne connaissance des systèmes français d’enseignement et de recherche. Il est, notamment, le correspondant de l’agence EduFrance. Il assure également une veille scientifique et technologique, en liaison avec les milieux scientifiques, et éventuellement industriels, concernés. Dans les pays de la zone de solidarité prioritaire, il est le maître d’oeuvre d’une coopération technique qui repose sur la maîtrise des procédures de l’assistance technique et de la gestion de projets FSP (fonds de solidarité prioritaire), des mécanismes de financements internationaux et de la problématique de l’aide publique au développement. Pour ces candidats, cadre A de la fonction publique ou équivalent, la maîtrise parfaite de l’anglais est nécessaire. Les candidatures à ces postes sont examinées par une commission spécialisée.
Conseiller de coopération et d’action culturelle
Sous l’autorité de l’Ambassadeur, le Conseiller de coopération et d’action culturelle, Chef du Service de coopération et d’action culturelle, est chargé :
de la définition et de l’actualisation de la stratégie française de coopération et d’action culturelle au Vanuatu mise en oeuvre par le poste ou d’autres acteurs (AFD N-C, UE, opérateurs...), en liaison avec la Nouvelle-Calédonie et l’Union Européenne.
de la coordination de l’ensemble des moyens d’intervention de notre politique de coopération et d’action culturelle dans le pays (assistants techniques, projets du FSP, crédits d’intervention du titre IV, bourses, Fonds Pacifique et Fonds Calédoniens) ainsi que de la programmation de ces moyens. - des relations avec les autorités et les institutions vanuataises concernées ainsi qu’avec la communauté des bailleurs de fonds (Australie - Nouvelle-Zélande - Union Européenne - Japon - Chine).
de contribuer à l’élaboration et d’assurer la coordination des opérations menées avec la Nouvelle-Calédonie et le Fonds Pacifique en faveur du Vanuatu.
SAE ou SAEP et de niveau universitaire (troisième cycle, Droit/Économie ou Administration Publique), il s’intéresse à la « Bonne Gouvernance » et au « Secteur Privé ». Il dispose d’une expérience de la ZSP et/ou de la zone Pacifique Sud (y inclus l’Australie) confirmée et a une connaissance approfondie des mécanismes et des procédures de l’aide publique au développement française et européenne. Il a également une bonne capacité de synthèse, le sens des contacts et une grande patience. Enfin, il devra maîtriser parfaitement l’anglais écrit et oral. Le Conseiller de coopération et d’action culturelle (COCAC) assure la direction du Service de coopération et d’action culturelle (SCAC) organisé autour d’un attaché de coopération, d’un cadre C (gestionnaire), d’un V.I. (chargé de mission culturel), d’une secrétaire, d’un comptable recruté local chargé de suivi des bourses.
Conseiller de coopération et d’action culturelle
Le Conseiller élabore, sous l’autorité de l’Ambassadeur et en étroite collaboration avec le Département, la stratégie de coopération du poste. Il conçoit, coordonne et évalue les coopérations culturelle, scientifique et technique en liaison avec les attachés de coopération. Il maîtrise l’espagnol. Il entretient des relations privilégiées avec les comités des six Alliances françaises (deux directeurs expatriés) et le Lycée français de Caracas (7 expatriés et 26 résidents pour 1 200 élèves). Le Conseiller, aux compétences transversales, maîtrisant les outils de la coopération internationale, bon connaisseur du multilatéral et à profil universitaire) occupe un poste "lourd" (notamment en matière de gestion administrative et d’organisation de grands événements, tant culturels que scientifiques) et "sensible" (eu égard à l’environnement social et politique du Venezuela) nécessitant une forte aptitude au travail en équipe et une grande disponibilité. Il est à la croisée de la coopération d’influence et de l’assistance technique.
Conseiller de coopération et d’action culturelle
Collaborateur direct de l’ambassadeur, il assure la direction et la coordination de l’ensemble des services et établissements culturels et de recherche placés sous son autorité, définit et répartit les moyens nécessaires à la conduite de leurs actions respectives, assure par délégation de l’agence pour l’enseignement français à l’étranger (A.E.F.E) la tutelle des établissements d’enseignement, négocie avec ses partenaires locaux les grandes orientations de la politique de coopération culturelle, audiovisuelle, linguistique, universitaire, scientifique et technique. Il a une bonne connaissance des systèmes français d’enseignement et de recherche. Il est, notamment, le correspondant de l’agence EduFrance. Il assure également une veille scientifique et technologique, en liaison avec les milieux scientifiques, et éventuellement industriels, concernés. Dans les pays de la zone de solidarité prioritaire, il est le maître d’œuvre d’une coopération technique qui repose sur la maîtrise des procédures de l’assistance technique et de la gestion de projets FSP (fonds de solidarité prioritaire), des mécanismes de financements internationaux et de la problématique de l’aide publique au développement. Pour ces candidats, cadre A de la fonction publique ou équivalent, la maîtrise parfaite de l’anglais est nécessaire. Les candidatures à ces postes sont examinées par une commission spécialisée.